Semis de rosiers

Publié le 05 août 2014 par Sambuca

Un terrain de terre riche en pleine nature, c’est l’enfer. Je défriche continuellement et ça repousse derrière moi. J’avais bien nettoyé cette zone au printemps et c’était de nouveau impénétrable sauf une large zone envahie par Lamium galeobdolon. Ce lamium au feuillage vert et argent s’est superbement multiplié et constitue un excellent couvre-sol, rien ne s’y sème. En attendant qu’il ait tout envahi, je défriche, encore et encore. Je fais ça manuellement en me mettant au ras du sol pour ne pas supprimer des plantes précieuses. C’est ainsi que j’ai découvert deux bébés rosiers. C’est sans doute rare dans les jardins les semis de rosiers mais il s’agit de rosiers botaniques.

Le premier géniteur m’a été donné il y a très longtemps et je ne sais plus son nom. Il était d’abord sur un autre terrain pourtant au sol de même nature mais il y végétait.

Je l’ai transplanté à Romilly il y a 2 ans et il s’y plait. Il mesure 1m de haut avec un feuillage fin qui devient jaune vif en automne :

Il a de magnifiques fruits rouge intense parsemés de poils :

Il ressemble à Rosa rubiginosa mais j’ai un doute parce que je n’ai vu nulle part décrite pour celui-ci une telle densité d’épines sur les troncs :

J’ai malheureusement oublié de la photographier dans son ensemble pour vous montrer à quel point il est devenu volumineux et très dense et étendu en largeur, peut-être par semis que je n’avais pas remarqués ou rejets. Devant lui, à environ 1m, j’ai trouvé ce bébé qui présente le même feuillage, la même densité d’épines sur le tronc et plus haut une tige rouge à épines plus espacées.

Le deuxième géniteur est un Rosa rugosa :

Lui aussi a pris beaucoup d’ampleur et de densité depuis le printemps et atteint maintenant 2m. J’ai trouvé son bébé à environ 2m, minuscule mais portant déjà un fruit :

Un terrain de terre riche en pleine nature, c’est l’enfer. Je défriche continuellement et ça repousse derrière moi. J’avais bien nettoyé cette zone au printemps et c’était de nouveau impénétrable sauf une large zone envahie par Lamium galeobdolon. Ce lamium au feuillage vert et argent s’est superbement multiplié et constitue un excellent couvre-sol, rien ne s’y sème. En attendant qu’il ait tout envahi, je défriche, encore et encore. Je fais ça manuellement en me mettant au ras du sol pour ne pas supprimer des plantes précieuses. C’est ainsi que j’ai découvert deux bébés rosiers. C’est sans doute rare dans les jardins les semis de rosiers mais il s’agit de rosiers botaniques.

Le premier géniteur m’a été donné il y a très longtemps et je ne sais plus son nom. Il était d’abord sur un autre terrain pourtant au sol de même nature mais il y végétait.

Je l’ai transplanté à Romilly il y a 2 ans et il s’y plait. Il mesure 1m de haut avec un feuillage fin qui devient jaune vif en automne :

Il a de magnifiques fruits rouge intense parsemés de poils :

Il ressemble à Rosa rubiginosa mais j’ai un doute parce que je n’ai vu nulle part décrite pour celui-ci une telle densité d’épines sur les troncs :

J’ai malheureusement oublié de la photographier dans son ensemble pour vous montrer à quel point il est devenu volumineux et très dense et étendu en largeur, peut-être par semis que je n’avais pas remarqués ou rejets. Devant lui, à environ 1m, j’ai trouvé ce bébé qui présente le même feuillage, la même densité d’épines sur le tronc et plus haut une tige rouge à épines plus espacées.

Le deuxième géniteur est un Rosa rugosa :

Lui aussi a pris beaucoup d’ampleur et de densité depuis le printemps et atteint maintenant 2m. J’ai trouvé son bébé à environ 2m, minuscule mais portant déjà un fruit :