Un jour, chez moi, voulant ramasser un papier qui traîne sur le sol près de mon porte journaux (depuis quelques jours, shame on me and on my bordel absolute), je découvre qu'il colle, le papier.
Il est englué dans une coulée brun clair, un peu transparente, de la couleur du coca.
Ayant trois fauves à la maison, je me méfie toujours des coulées que je découvre, alors je m'approche prudemment, je nettoie, je hume la chose. Elle ne sent ni le vomi félin ni la crotte féline (ouf), mais un peu le caramel.
Je repense alors au coca, sachant que mon toutnu a déjà renversé plusieurs fois mon verre de coca, que j'ai le malheur de laisser traîner par terre comme les papiers (shame on me blablabla). Mais comment du coca (light) pourrait-il se transformer en plaque un peu collante, un peu gluante ? Je ne me l'explique pas.
Alors je nettoie, puis j'oublie.
Et ce matin, me penchant vers mon porte journaux : rebelotte. Une nouvelle coulée. Nan mais allô quoi, keskeséksebinz ? Plus besoin de humer avec circonspection, je sais que la substance n'est pas dangereuse, mais d'où vient-elle ?
Je vide alors mon porte journaux, dans un éclair de lucidité, me souvenant de ces délicieux bonbons au miel bio que j'y avais entreposé, bordélique que je suis (shame on me ter).
Et bien c'est dingue comme comme des bonbons au miel bio peuvent se liquéfier au contact du transformateur d'un pc portable.
Dingue.
Un jour, chez moi, voulant ramasser un papier qui traîne sur le sol près de mon porte journaux (depuis quelques jours, shame on me and on my bordel absolute), je découvre qu'il colle, le papier.
Il est englué dans une coulée brun clair, un peu transparente, de la couleur du coca.
Ayant trois fauves à la maison, je me méfie toujours des coulées que je découvre, alors je m'approche prudemment, je nettoie, je hume la chose. Elle ne sent ni le vomi félin ni la crotte féline (ouf), mais un peu le caramel.
Je repense alors au coca, sachant que mon toutnu a déjà renversé plusieurs fois mon verre de coca, que j'ai le malheur de laisser traîner par terre comme les papiers (shame on me blablabla). Mais comment du coca (light) pourrait-il se transformer en plaque un peu collante, un peu gluante ? Je ne me l'explique pas.
Alors je nettoie, puis j'oublie.
Et ce matin, me penchant vers mon porte journaux : rebelotte. Une nouvelle coulée. Nan mais allô quoi, keskeséksebinz ? Plus besoin de humer avec circonspection, je sais que la substance n'est pas dangereuse, mais d'où vient-elle ?
Je vide alors mon porte journaux, dans un éclair de lucidité, me souvenant de ces délicieux bonbons au miel bio que j'y avais entreposé, bordélique que je suis (shame on me ter).
Et bien c'est dingue comme comme des bonbons au miel bio peuvent se liquéfier au contact du transformateur d'un pc portable.
Dingue.