Le sureau blanc, Sambucus canadensis, est l’équivalent américain de notre sureau noir. Plus petit, 3m maxi, mais plus touffu, il lui ressemble beaucoup. Il est utilisable en cuisine de la même façon. Ses fleurs sont odorantes mais une odeur qui m’est agréable alors que pour moi celles du sureau noir sentent la pisse de chat. Les fruits sont plus petits mais en corymbes plus vastes.
Ce sureau constitue aujourd’hui l’essentiel de ma culture de sureaux à Romilly. En effet, à l’exception de deux Sambucus nigra ‘Aurea’, tous les sureaux noirs ont été décimés par les inondations prolongées de 2013. Le terrain est resté sous 40cm d’eau des premiers jours de mai jusque vers le 10 juin. Quelques sureaux noirs repartent difficilement et seulement cette année à partir du tronc mais ils sont encore très minables. Lorsque l’eau s’est retirée les sureaux blancs avaient des feuilles pendantes mais déjà de jeunes corymbes. Le 5 juin 2013, encore dans l’eau :
Ils ont vite repris un aspect normal, comme si rien ne s’était passé. Le 3 août 2013 :
Magnifique, n’est-ce pas ? La particularité de la floraison du sureau blanc, c’est que, si elle commence un mois plus tard que celle du sureau noir, elle dure plus longtemps, jusqu’en septembre. Le 7 septembre 2013 :
Alors, fruits et fleurs cohabitent sur le même arbuste. Même en 2013 je n’ai pas été privée de fruits :
Puis ils ont subi une deuxième inondation prolongée de 4 semaines. Cette année, ils sont toujours aussi beaux. Photos du 22 juin et du 1 juillet :
Le sureau blanc a un comportement intermédiaire entre les sureaux ligneux et les sureaux herbacés. Il possède en effet des rhizomes et il drageonne. Dans cette zone, je n’ai planté qu’un seul sureau blanc. C’est ‘Nova’, un sureau qui serait autofertile. Je ne peux le vérifier car j’ai plusieurs variétés sur le terrain. Pour la pollinisation, comme c’est le cas pour beaucoup d’arbres fruitiers, il faut planter 2 variétés. A droite de la jardinière, vous voyez plusieurs troncs qui ne partent pas tous du même point. A l’extrême droite on voit même les feuilles d’un jeune drageon. A gauche il y a un autre drageon de belle taille, à presque 2m de distance. J’en ai même trouvé un autre plus jeune à côté de lui.
Et j’ai déjà donné des drageons de ‘Nova’. Mais voici d’autres sureaux blancs qui drageonnent :
Le sureau blanc, Sambucus canadensis, est l’équivalent américain de notre sureau noir. Plus petit, 3m maxi, mais plus touffu, il lui ressemble beaucoup. Il est utilisable en cuisine de la même façon. Ses fleurs sont odorantes mais une odeur qui m’est agréable alors que pour moi celles du sureau noir sentent la pisse de chat. Les fruits sont plus petits mais en corymbes plus vastes.
Ce sureau constitue aujourd’hui l’essentiel de ma culture de sureaux à Romilly. En effet, à l’exception de deux Sambucus nigra ‘Aurea’, tous les sureaux noirs ont été décimés par les inondations prolongées de 2013. Le terrain est resté sous 40cm d’eau des premiers jours de mai jusque vers le 10 juin. Quelques sureaux noirs repartent difficilement et seulement cette année à partir du tronc mais ils sont encore très minables. Lorsque l’eau s’est retirée les sureaux blancs avaient des feuilles pendantes mais déjà de jeunes corymbes. Le 5 juin 2013, encore dans l’eau :
Ils ont vite repris un aspect normal, comme si rien ne s’était passé. Le 3 août 2013 :
Magnifique, n’est-ce pas ? La particularité de la floraison du sureau blanc, c’est que, si elle commence un mois plus tard que celle du sureau noir, elle dure plus longtemps, jusqu’en septembre. Le 7 septembre 2013 :
Alors, fruits et fleurs cohabitent sur le même arbuste. Même en 2013 je n’ai pas été privée de fruits :
Puis ils ont subi une deuxième inondation prolongée de 4 semaines. Cette année, ils sont toujours aussi beaux. Photos du 22 juin et du 1 juillet :
Le sureau blanc a un comportement intermédiaire entre les sureaux ligneux et les sureaux herbacés. Il possède en effet des rhizomes et il drageonne. Dans cette zone, je n’ai planté qu’un seul sureau blanc. C’est ‘Nova’, un sureau qui serait autofertile. Je ne peux le vérifier car j’ai plusieurs variétés sur le terrain. Pour la pollinisation, comme c’est le cas pour beaucoup d’arbres fruitiers, il faut planter 2 variétés. A droite de la jardinière, vous voyez plusieurs troncs qui ne partent pas tous du même point. A l’extrême droite on voit même les feuilles d’un jeune drageon. A gauche il y a un autre drageon de belle taille, à presque 2m de distance. J’en ai même trouvé un autre plus jeune à côté de lui.
Et j’ai déjà donné des drageons de ‘Nova’. Mais voici d’autres sureaux blancs qui drageonnent :