Elles n’ont pas la notoriété des auteurs prolifiques ou des artistes peintres en demande, mais quand même… elles ne se débrouillent pas si mal. Au moins, enfin, elles font ce qu’elles aiment, ce qu’elles ont toujours voulu faire : écrire pour une et peindre pour l’autre. Pas sept jours par semaine, pas cinquante-deux semaines par année, mais quand même…

Quant à l’auteure, elle a envoyé un manuscrit dont elle attend fébrilement des nouvelles, en se disant : « c’est pas parce que ça prend du temps que c’est nécessairement un refus ». Pendant ce temps, elle réfléchit, elle féconde, elle structure, elle amasse des petites phrases pour le prochain.
Sa dernière publication, c’était en 2011. Quoique… Quand même…

C’est tellement beau de voir une écrire dans son petit calepin et l’autre esquisser quelques traits dans le sien.