Les cormorans sont déjà là

Publié le 29 septembre 2014 par Sambuca

Ils envahissent l’intérieur du pays entre octobre et mars. En 2012 je les ai vus à Paris le 10 novembre :

http://sureaux.blogspirit.com/archive/2012/11/10/le-vol-d...

Hier, mon fils a emmené ses petites américaines aux étangs de Sorques pour leur montrer des oiseaux d’Europe :

Cela se passe très loin. Il avait pris mon APN mais mon zoom ne va pas au-delà de 300mm. On voit que les oiseaux sont très nombreux sur cette île flottante, toutes espèces mélangées et en bonne entente. Même en agrandissant on ne peut reconnaître les plus petits. Mais il y a déjà des cormorans :

Des foulques et, à droite un grèbe huppé.

C’est probablement les grèbes qui sont les auteurs de l’île artificielle qui était leur nid au printemps. Je les avais vus en avril 2010 :

On voit même un œuf sur l’île de branchages :

On distingue aussi des bernaches, pas vraiment européennes, mais elles sont partout. A Moret une petite quantité semble sédentaire, les autres arrivent en automne et il y en a déjà beaucoup sur le Loing où elles savent qu’elles seront nourries tout l’hiver.

Ils envahissent l’intérieur du pays entre octobre et mars. En 2012 je les ai vus à Paris le 10 novembre :

http://sureaux.blogspirit.com/archive/2012/11/10/le-vol-d...

Hier, mon fils a emmené ses petites américaines aux étangs de Sorques pour leur montrer des oiseaux d’Europe :

Cela se passe très loin. Il avait pris mon APN mais mon zoom ne va pas au-delà de 300mm. On voit que les oiseaux sont très nombreux sur cette île flottante, toutes espèces mélangées et en bonne entente. Même en agrandissant on ne peut reconnaître les plus petits. Mais il y a déjà des cormorans :

Des foulques et, à droite un grèbe huppé.

C’est probablement les grèbes qui sont les auteurs de l’île artificielle qui était leur nid au printemps. Je les avais vus en avril 2010 :

On voit même un œuf sur l’île de branchages :

On distingue aussi des bernaches, pas vraiment européennes, mais elles sont partout. A Moret une petite quantité semble sédentaire, les autres arrivent en automne et il y en a déjà beaucoup sur le Loing où elles savent qu’elles seront nourries tout l’hiver.