FIFF - Jacques a vu

Publié le 05 octobre 2014 par Anaïs Valente

Je me suis offert une plongée dans le déjanté avec ce film réunissant une brochette de « stars » belges, tourné dans la région namuroise, même si l'action est censée se dérouler dans les Ardennes et (un chouia) à Rome.

J'ai adoré la première demi-heure, avec un Nicolas Buysse et une Christelle Cornil (que j'avais découverte dans le superbe Au cul du loup lors d'un précédent Fiff) en pleine forme. Tellement en forme que j'ai fini par me lasser de leurs péripéties qui faisaient beaucoup rire la salle, mais moins moi (je sais, j'ai l'humour très difficile).

L'histoire commence avec l'achat (la scène chez le notaire, criante de vérité, croyez-moi sur parole) d'une maison pourrie au prix surévalué, par ce couple désireux de renouer avec le passé de Monsieur, Brice. Sauf que le passé a disparu (de la famille d'antan, il ne reste qu ele cousin Jacques) et que l'accueil est plutôt glacial, voire polaire. Lorsqu'un centre de loisirs prévoit de s'installer dans la région, Brice profite d'une pseudo-vision miraculeuse par son cousin Jacques pour enrayer le processus et faire du village le nouveau Beauraing. Rocambolesque à souhait...

J'avoue que je me suis plus amusée du décor du tournage que de l'histoire à proprement parler : c'est pas tous les jours que les personnages vont à Rome... au pied de la Cathédrale Saint-Aubain ou qu'ils s'offrent les services d'une prostituée romaine... dans le piétonnier namurois. Même la gare de Namur a été transformée pour l'occasion et Jambes a eu droit à ses quelques secondes de gloire arrosées de Blanche de Namur.

A découvrir, car c'est belge, car ce fut tourné à Namur, et car c'est drôle pour autant que vous aimiez ce type d'humour.

Je me suis offert une plongée dans le déjanté avec ce film réunissant une brochette de « stars » belges, tourné dans la région namuroise, même si l'action est censée se dérouler dans les Ardennes et (un chouia) à Rome.

J'ai adoré la première demi-heure, avec un Nicolas Buysse et une Christelle Cornil (que j'avais découverte dans le superbe Au cul du loup lors d'un précédent Fiff) en pleine forme. Tellement en forme que j'ai fini par me lasser de leurs péripéties qui faisaient beaucoup rire la salle, mais moins moi (je sais, j'ai l'humour très difficile).

L'histoire commence avec l'achat (la scène chez le notaire, criante de vérité, croyez-moi sur parole) d'une maison pourrie au prix surévalué, par ce couple désireux de renouer avec le passé de Monsieur, Brice. Sauf que le passé a disparu (de la famille d'antan, il ne reste qu ele cousin Jacques) et que l'accueil est plutôt glacial, voire polaire. Lorsqu'un centre de loisirs prévoit de s'installer dans la région, Brice profite d'une pseudo-vision miraculeuse par son cousin Jacques pour enrayer le processus et faire du village le nouveau Beauraing. Rocambolesque à souhait...

J'avoue que je me suis plus amusée du décor du tournage que de l'histoire à proprement parler : c'est pas tous les jours que les personnages vont à Rome... au pied de la Cathédrale Saint-Aubain ou qu'ils s'offrent les services d'une prostituée romaine... dans le piétonnier namurois. Même la gare de Namur a été transformée pour l'occasion et Jambes a eu droit à ses quelques secondes de gloire arrosées de Blanche de Namur.

A découvrir, car c'est belge, car ce fut tourné à Namur, et car c'est drôle pour autant que vous aimiez ce type d'humour.