Lemon and Lime

Publié le 09 octobre 2014 par Sambuca

Ligustrum ‘Lemon and Lime’ est une petite merveille, une grosse boule d’or dont le feuillage persiste tout l’hiver (serait semi-persistant en climat plus froid), comme un phare dans le jardin alors si triste, vigoureux, sans maladies, mais pas sans mammifère gourmand.

Je ne vous dirai pas son espèce, les avis sont partagés. Ou bien on confond plusieurs Ligustrum dorés : ovalifolium, sinense, japonicum. Je pencherais pour le chinois, à cause de sa petite taille et de ses feuilles fines et tendres.

Le voici encore dans son pot à Veneux en septembre 2012 :

Et planté à Romilly le 21 décembre 2012 :

Hélas, j’ai oublié de le protéger et en janvier 2013 j’ai vu à temps qu’il s’était fait manger la moitié du feuillage :

Je l’ai aussitôt protégé mais ce n’était pas facile étant donné sa forme ample : du grillage en bas, des barbelés au-dessus. Il a repris sa croissance avec force pendant l’été. Le 6 octobre 2013 :

Il a encore pris beaucoup d’ampleur et de densité cet été 2014 et il a complètement englobé ses protections qu’on ne voit plus :

Les fleurs rose pâle devant lui, ce sont encore les sauvages eupatoires chanvrines. Vous reconnaissez aussi un hydrangea, un sureau du Canada qui porte encore des fruits, peut-être parce que la branche plie sous le poids d’un oiseau. Les tuteurs en bois soutiennent une verveine odorante, Aloysia citrodora, elle aussi très vigoureuse, et très parfumée.

Un seul regret : mon petit troène n’a pas encore fleuri.

Ligustrum ‘Lemon and Lime’ est une petite merveille, une grosse boule d’or dont le feuillage persiste tout l’hiver (serait semi-persistant en climat plus froid), comme un phare dans le jardin alors si triste, vigoureux, sans maladies, mais pas sans mammifère gourmand.

Je ne vous dirai pas son espèce, les avis sont partagés. Ou bien on confond plusieurs Ligustrum dorés : ovalifolium, sinense, japonicum. Je pencherais pour le chinois, à cause de sa petite taille et de ses feuilles fines et tendres.

Le voici encore dans son pot à Veneux en septembre 2012 :

Et planté à Romilly le 21 décembre 2012 :

Hélas, j’ai oublié de le protéger et en janvier 2013 j’ai vu à temps qu’il s’était fait manger la moitié du feuillage :

Je l’ai aussitôt protégé mais ce n’était pas facile étant donné sa forme ample : du grillage en bas, des barbelés au-dessus. Il a repris sa croissance avec force pendant l’été. Le 6 octobre 2013 :

Il a encore pris beaucoup d’ampleur et de densité cet été 2014 et il a complètement englobé ses protections qu’on ne voit plus :

Les fleurs rose pâle devant lui, ce sont encore les sauvages eupatoires chanvrines. Vous reconnaissez aussi un hydrangea, un sureau du Canada qui porte encore des fruits, peut-être parce que la branche plie sous le poids d’un oiseau. Les tuteurs en bois soutiennent une verveine odorante, Aloysia citrodora, elle aussi très vigoureuse, et très parfumée.

Un seul regret : mon petit troène n’a pas encore fleuri.