Hydrangea quercifolia

Publié le 13 octobre 2014 par Sambuca

Hydrangea quercifolia semble mal connu. Je vais reprendre d’anciennes photos pour en reparler.

Tout d’abord, il tolère bien le calcaire. Il tolère assez bien la sécheresse. Tout cela me change des Hydrangea macrophylla vraiment trop fragiles qui ne tolèrent pas du tout le calcaire et qui à Veneux où il n’y a pas de calcaire meurent de soif alors que ce sont les plantes que j’arrose le plus, presque tous les jours et au moindre signe de détresse deux fois par jour quand il fait chaud. Ma dernière tentative date de 2013, il est mort. Je ne supporte plus ces chochottes. Au moins, les autres Hydrangea survivent si on les arrose. Les H. paniculata se passent totalement d’arrosage à Romilly.

Revenons à H. quercifolia. Ce qu’il a de remarquable, de différent, c’est son magnifique feuillage dense aux grandes feuilles découpées ressemblant aux feuilles des chênes. Il se plante à mi-ombre ou mieux au soleil car c’est au soleil qu’il va le mieux déployer son flamboyant feuillage d’automne, un feuillage qui persistera tout l’hiver. Le voici à Veneux où il a encore un feuillage très vert parce qu’il est un peu à l’ombre :

Comme vous le voyez, il est plus haut que le grillage de 2m. A cette situation un peu ombragée mais plein sud, il ne commence à se colorer que début décembre. Un 2 décembre :

Ses très grandes panicules ressemblent à celles des paniculata. Le mien, c’est ‘Snow Queen’ aux grandes panicules de fleurs stériles et fertiles qu’il tient bien dressées :

Magnifique, n’est-ce pas ? ‘Snow Flake’ a des panicules qui lui ressemblent beaucoup mais les fleurs stériles sont doubles. Il m’a déçue parce qu’il a du mal à tenir ces panicules trop lourdes.

Voici ‘Harmony’, très différent car il n’a que des fleurs stériles, cela donne des inflorescences somptueuses, très denses :

Vous remarquez sur la dernière photo que les fleurs sont un peu vertes. C’est fin juillet mais c’est une fleur tardive qui vient de s’épanouir. Les fleurs des H. quercifolia sont d’abord verdâtres puis d’un blanc éblouissant.

Voici un autre Hydrangea quercifolia à Paris, probablement ‘Snow Queen’ :

Le même en parure d’hiver le 24 décembre :

Hydrangea quercifolia semble mal connu. Je vais reprendre d’anciennes photos pour en reparler.

Tout d’abord, il tolère bien le calcaire. Il tolère assez bien la sécheresse. Tout cela me change des Hydrangea macrophylla vraiment trop fragiles qui ne tolèrent pas du tout le calcaire et qui à Veneux où il n’y a pas de calcaire meurent de soif alors que ce sont les plantes que j’arrose le plus, presque tous les jours et au moindre signe de détresse deux fois par jour quand il fait chaud. Ma dernière tentative date de 2013, il est mort. Je ne supporte plus ces chochottes. Au moins, les autres Hydrangea survivent si on les arrose. Les H. paniculata se passent totalement d’arrosage à Romilly.

Revenons à H. quercifolia. Ce qu’il a de remarquable, de différent, c’est son magnifique feuillage dense aux grandes feuilles découpées ressemblant aux feuilles des chênes. Il se plante à mi-ombre ou mieux au soleil car c’est au soleil qu’il va le mieux déployer son flamboyant feuillage d’automne, un feuillage qui persistera tout l’hiver. Le voici à Veneux où il a encore un feuillage très vert parce qu’il est un peu à l’ombre :

Comme vous le voyez, il est plus haut que le grillage de 2m. A cette situation un peu ombragée mais plein sud, il ne commence à se colorer que début décembre. Un 2 décembre :

Ses très grandes panicules ressemblent à celles des paniculata. Le mien, c’est ‘Snow Queen’ aux grandes panicules de fleurs stériles et fertiles qu’il tient bien dressées :

Magnifique, n’est-ce pas ? ‘Snow Flake’ a des panicules qui lui ressemblent beaucoup mais les fleurs stériles sont doubles. Il m’a déçue parce qu’il a du mal à tenir ces panicules trop lourdes.

Voici ‘Harmony’, très différent car il n’a que des fleurs stériles, cela donne des inflorescences somptueuses, très denses :

Vous remarquez sur la dernière photo que les fleurs sont un peu vertes. C’est fin juillet mais c’est une fleur tardive qui vient de s’épanouir. Les fleurs des H. quercifolia sont d’abord verdâtres puis d’un blanc éblouissant.

Voici un autre Hydrangea quercifolia à Paris, probablement ‘Snow Queen’ :

Le même en parure d’hiver le 24 décembre :