L'épeire, une excellente technicienne

Publié le 21 octobre 2014 par Sambuca

Tous les jours je prends des toiles d’araignée plein les cheveux lorsque je me promène sur mon terrain de Veneux. Il y en a partout, de toutes tailles, barrant toutes les allées. Ce n’est tout de même pas moi qu’elles veulent attraper ? J’ai étudié le travail de celle-ci. Une technique précise. Voici, vue par vue, l’installation d’un cercle de la toile. Un fil de 2m relie la toile au sol à gauche, à droite elle est reliée au tronc d’arbre.

Œuvre terminée :

Le but de ce travail harassant, c’est la capture d’un bon gueuleton :

Détails de l’artiste. La fabrication du fil :

La coiffure qui couvre un peu les beaux yeux :

Les pédipalpes pour manipuler la proie :

Derrière les pédipalpes, les crochets noirs des chélicères qui vont injecter le venin qui liquéfie la proie :

Tous les jours je prends des toiles d’araignée plein les cheveux lorsque je me promène sur mon terrain de Veneux. Il y en a partout, de toutes tailles, barrant toutes les allées. Ce n’est tout de même pas moi qu’elles veulent attraper ? J’ai étudié le travail de celle-ci. Une technique précise. Voici, vue par vue, l’installation d’un cercle de la toile. Un fil de 2m relie la toile au sol à gauche, à droite elle est reliée au tronc d’arbre.

Œuvre terminée :

Le but de ce travail harassant, c’est la capture d’un bon gueuleton :

Détails de l’artiste. La fabrication du fil :

La coiffure qui couvre un peu les beaux yeux :

Les pédipalpes pour manipuler la proie :

Derrière les pédipalpes, les crochets noirs des chélicères qui vont injecter le venin qui liquéfie la proie :