Aînée et liberté, deux mots tout simples qui, une fois réunis dans une même existence, deviennent un exemple original et une invitation peu banale à écouter notre fantaisie et dire oui à nos envies.
L’autre soir, les yeux rêveurs, Francine me décrivait sa joie d’écrire sur des sujets qui lui parlent. Elle cueille ses anecdotes à même le jardin de son quotidien, sur le balcon du voisin, dans un spa parisien, durant une conversation, après un fort moment d’émotion. On reconnaît son œil de jardinière avertie à sa façon d’élaguer son récit pour ne laisser que de beaux bosquets de situations tantôt coquines, tantôt cocasses et, la plupart du temps, débordantes de tendresse.
Certains textes nous portent à réfléchir. D’autres n’ont pour seul but de nous divertir tout en libérant quelques rires.
Philosophe à ses heures, notre aînée friande de liberté adore se sortir de sa zone de confort, au risque même de choquer. Parce c’est, dit-elle, bien en-dehors des sentiers du connu qu’elle se sent vraiment vivante. L’idée de vous savoir en appétit de ses écrits ravive sa verve et la pousse à plus d’audace.
Dans quelques mois, elle nous charmera en direct du Costa Rica.
Son amour de l’écriture a un rival : sa passion pour la peinture. Vous avez vu le magnifique tableau qui enjolive le début mon article? Cette œuvre de Francine exprime à la perfection ma perception de la liberté. Il s’en dégage un petit brin de folie contagieux.
Qu’est-ce qui fait sa journée? Savoir qu’elle peut ajouter un plus à votre réalité. Mon doigt de fée me dit qu’il y a autre chose aussi.