Le roi de la provocation a encore frappé. Mais, de voir tout le monde se ruer sur lui, par racisme, c’est le bouquet. Même un menteur, faussaire et impudique. Telles sont les qualités du Grand Rabbin Gilles Bernheim, soutenu par des personnalités sans foi ni loi. On ne saurait parler de couardise car, son courage se résulte à sa témérité. Personne ne lui demande de raser les murs mais, quand on se dit rabbin, il faut avoir une certaine réserve. Je n’aimerai surtout pas assister à ses prêches. Le roi de la falsification intellectuelle et de la déformation doit aussi détourner la torah. Selon lui, cette dernière doit certainement avaliser le vol intellectuel.
Dieudonné a posté sur le réseau social Vine, une petite vidéo de 6 secondes. Rue89 en a fait un article de pas moins de 3000 signes avec le mensonge chevillé au corps. Il intitule sa daube: « Vine de Dieudonné sur les chambres à gaz:le négationnisme en six secondes ». Une escroquerie intellectuelle. Une façon malhonnête d’entrer par effraction dans la tête de l’humoriste qui n’a jamais rien nié ni insinué mais provoque. Ces gens le savent mais Dieudonné est un bon produit. L’article dont le titre est une falsification grossière a déjà été lu depuis hier plus de 60 000 fois. Probablement le record de Rue89. Voilà…
Un exploit donc, du site. Mais alors, ayant perdu toute légitimité, la journaliste qui a rédigé la daube parle vite fait de Gilles Bernheim, sans honte aucune. En effet, le faussaire Gilles Bernheim a fait un retweet scandaleux de cette blague de Dieudonné en parlant de honte. Si une personne devrait avoir honte de se prononcer en public, c’est bien lui. Accuser Dieudonné de Négationnisme, il fallait oser. Rue89 l’a fait ! Ces gens ont vraiment une imagination fertile. Ils veulent tellement que Dieudonné soit ce qu’ils veulent qu’ils inventent des histoires à dormir debout avec une mauvaise foi abyssale…
RT @tristanmf: Tu seras antisémite mon fils. https://t.co/HtVGYHtLhF #Dieudonne #dieudo #antisemite #shoah #honte
— Gilles Bernheim (@GBernheim) 2 Novembre 2014
Être rabbin c’est avoir une once de probité morale. Or, le bonimenteur affirmait, pince-sans-rire, qu’il était agrégé de philosophie. Le tout s’est avéré faux. Usurpateur donc, il a trompé le public et les éditeurs. La Société des agrégés de l’Université ne le connaît point. Non seulement le nom de Gilles Bernheim n’apparaît dans aucune liste des reçus. Dévoilé, dans la foulée, il avait reconnu que son livre Quarante méditations juives (Stock, 2011) plagiait plusieurs passages de l’ouvrage d’une universitaire américaine, ce qu’il avait nié dans un premier temps. Les emprunts du rabbin sont donc du vol caractéristique mais, il a encore les faveurs de certains faussaires intellectuels comme lui. Sa notice du Who’s Who est également un tissu de mensonge.
Mais, l’homme ne s’arrête pas là. dans Marianne, en 2013, il est encore une fois en face de ses multiples casquettes de faussaire. Voici une partie de cet article de Marianne:
Dans un numéro spécial des Études du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) de mars 2006 qui a pour thème « Des mots sur l’innommable. Réflexions sur la Shoah », Gilles Bernheim, signe, en conclusion, une réflexion sur Dieulefit, où son père a trouvé refuge sous Vichy. Ce village protestant de la Drôme a accueilli et protégé durant la dernière guerre quelques 2 000 personnes (juifs, enfants et adultes, et résistants) dont aucune ne fut dénoncée ni arrêtée.
Son long texte sur le paysage de Dieulefit et l’âme de ses habitants est en fait le plagiat quasi intégral du poète gaullien Pierre Emmanuel, auteur de Jours de Colère, résistant caché à Dieulefit, collaborateur de Témoignage chrétien et d’Esprit et qui deviendra académicien français (il démissionnera pour protester contre l’élection de Félicien Marceau, dont il dénonçait l’attitude sous l’Occupation).
Et voilà donc un homme qui s’attaque à l’humoriste Dieudonné, acharné de travail, honnête et surtout meilleur humoriste de France. Souvenez-vous, nous parlions de cette affaire Berbheim dans un article intitulé « Le philomenteur, Gilles Bernheim, 1ère victime du lobby homosexuel ». Il affirmait alors que:
« La téchouva [la repentance] existe à condition de ne pas répéter les même choses »
Petit menteur tais-toi !