Bachar Al-Assad
« Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît », disait Audiard. L’Express a fait, hier, l’article le plus loufoque du moment, pour masquer sa difficulté à critiquer Daesh. Cet article prouve au moins une chose: l’Occident a du mal à expliquer la dérive de ses poulains en Syrie et en Irak. Comment peut-on se permettre de faire une telle comparaison quand on sait pertinemment que le pouvoir syrien lutte contre des bandes armées financées par qui vous savez ? Comment peut-on oser pareille comparaison alors même que la réalité est tout autre ? Dans cette daube de L’Express, on a l’impression que le président Assad lutte contre des civils et que les forces jihadistes les protègent. L’absence d’objectivité de ce journal est un crime évident, une falsification, du non-journalisme.
Lisez plutôt ce chapeau pour avoir l’idée première:
« Les vidéos de décapitations diffusées ces derniers mois par l’organisation terroriste Etat islamique soulèvent l’indignation et l’écoeurement. Pourtant, à y regarder de plus près, les forces syriennes restées fidèles à Bachar el-Assad demeurent bien plus meurtrières. »
La suite se passe de commentaire avec des statistiques sans objet, des sorties hasardeuses, bref, de la désinformation scandaleuse. L’article ose même revenir, toute honte bue, sur l’attaque chimique attribué au Gouvernement syrien et qui était une grosse falsification. L’Express tente de raviver la folie médiatico-politique anti-Assad occidentale. Elle n’arrivera pas…Ils oublient, là-bas, que, répéter 100 fois un mensonge n’en fait pas une vérité !
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble