Le cinoche à Jules

Publié le 26 novembre 2014 par Jules

  

Afin de varier un peu, je me suis amusé à changer de style, de faires « à la manière de… ». Donc voilà trois affiches chacunes dans un genre bien particulier.

-20 000 Lieues sous les mers


Comme je lis pas mal de Comic Book, j’ai eu envie d’une image assez emblématique à la Mike Mignolia ou Eric Powell (la série the Goon). Un mec balaise, un harpon et des tentacules, au final l’idée de dessiner un pseudo Kirk Douglas c’est imposé assez rapidement. Pour rester dans le sujet la typo est celle d’Hellboy et l’image évoque le septième volume d’une hypothétique série à paraitre tout les mois chez votre marchand de journaux préféré.

  

-Fargo

J’avoue j’ai faillis m’étrangler en apprenant la mise ne chantier d’une série basé sur le film "Fargo". Comment pouvait-on se permettre de « souiller » ainsi le chef d’œuvre des frères Coen. Bien fait pour mes certitudes (pour le coup bien conservatrices) car le résultat donne ni plus ni moins que la série de l’année (et il y avait du lourd en face). A la fois fidèle et complètement différente, Fargo à la télévision est un feu d’artifice qui se veut avant tout une déclaration d’amour à l’univers développé par les frères Coen. A la fois glaçantes et totalement hilarantes, les mésaventures de Lester (Martin Freeman, ce mec est génial !) n’ont rien à envier aux personnages de loser pathétiques dont nous ont habitués les frangins. Et on peu compter sur le personnage de psychopathe joué par Billy Bob Thornton pour foutre le souk dans cette petite bourgade du Minnesota.

  

-Interstellar

Le public qui va voir « Interstellar » en salle imagine t’il à quelle point le nouveau film de Christopher Nolan est un projet marginal à Hollywood ? Il ne s’agit ni d’un film de super héro ni d’une suite ou d’un remake, pas plus que d’un reeboot et pas de robots géants à l'horizon. Et c’est vrai qu’il a du falloir un sacrée culot pour proposer au studio ce projet hanté par la mort abordant des thèmes aussi peu glamour que, la théorie des cordes, la relativité restreinte, et aussi un peu de l’apocalypse ! Et si le scénario pêche par un excès de trop plein, l’ambiance générale du film et la performance des acteurs permet de passer outre certains passages un peu limites. Nolan est toujours le roi du montage alterné et la musique de Zimmer colle encore une fois parfaitement avec l’ensemble.