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Ma semaine télé du 24 au 30 novembre

Publié le 01 décembre 2014 par Corboland78

« A l’écran, Hulda venait d’annoncer le programme de la soirée quand je me suis levé et j’ai arraché le poste de télé de sa prise pour le balancer par la fenêtre, ce qui provoqua une explosion terrible sur le terre-plein. (…) J’ai dit : Il n’y a jamais rien à voir sur cette foutue télé. Elle a dit : Pourquoi ne l’as-tu pas jetée plutôt par la porte ? »  Bergsveinn Birgisson  La Lettre à Helga

Lundi je réclame mes épisodes de Castle. Les intrigues valent ce qu’elles valent, du moment que les acteurs, Beckett et Castle mais aussi les flics adjoints, restent sympathiques et souriants comme c’est la règle dans cette série, je suis content. Une jolie fille et des sourires, chouette programme.

Mardi sur TF1 c’est le jour du Mentalist que je continue à regarder sans plaisir particulier. Le FBI passe pour une bande de gugusses, Patrick Jane – monsieur je sais tout – m’agace. T’as qu’à éteindre ton poste, si ça ne te plait pas !

Mercredi sur ARTE, un film d’Alain Cavalier (2011), Pater. Un film pas banal avec Alain Cavalier et Vincent Lindon qui discutent, le premier endossant le rôle de président de la république pour proposer celui de premier ministre au second. Filmé en caméra à l’épaule, réel et fiction se mêlent, Lindon en complète immersion dans son personnage développe son idée maîtresse et programme, un salaire minimum et un salaire maximum ne pouvant être quinze fois plus élevé. Film passionnant et déroutant. Excellent.

Jeudi sur France5, François Busnel et sa Grande Librairie se trouvaient à New York pour y rencontrer plusieurs écrivains, dont Patti Smith, chanteuse, poétesse et écrivaine. La ville garde toujours son pouvoir attractif, les images nous le montraient, confirmées par les interviews.

patrick bruel, séries télé,
Dimanche soir je me retrouve sur TF1 pour le film  d’Alexandre de la Patellière et Mathieu Delaporte (2012) Le Prénom. Adaptation de leur propre pièce de théâtre, une comédie assez sympathique avec Patrick Bruel et Charles Berling, tout en dialogues percutants. Mais plus de deux heures, c’était encore un peu trop long. Sacré nom !

La semaine de télé s’avère finalement pas trop désagréable, sans non plus qu’elle s’inscrive dans un palmarès inoubliable. En demander plus, serait illusoire et riche en déceptions…  


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