Ce court texte m'est inspiré par la lecture que je viens de faire d'un autre, écrit par Loïs de Murphy sur son blog : http://loisdemurphy.canalblog.com
Un texte croisé en somme.
Il avait pour lui que la vinasse avant que de le plonger dans la lie quotidienne le couronnait d'un absolu sans lequel il n'est rien de vivre. Mon père buvait. Et cela me fait souvenir, maintenant que son corps enfin libre des pesanteurs de sa "patte folle" ne le fait plus souffrir de ce que les anges endurent dans la contrainte d'avoir à claudiquer plutôt que de planer en de gracieux looping, d'une réclame télévisée de mon enfance passée auprès de lui à le fuir par tous les moyens. A l'image n'aparaissait qu'un petit garçon dont on voyait que la main était tenue par la main d'un homme. Ils marchaient tous deux au long d'une rue et passant devant des vitrines, ils finissaient par s'arrêter devant la porte d'un café, "tapageur" comme le chantait Rimbaud. L'enfant se raidissait, freinait des quatre mais l'homme lachant la petite main poussait la porte et entra