Une compensation bienvenue

Dans un billet récent je me plaignais de voir filer le mois de décembre et de l’angoisse à l’idée d’affronter la nouvelle année débutante.

Pour geindre, il y a toujours foule au guichet, je ne sais pas si vous l’avez déjà remarqué. Je ne fais pas exception à la règle, loin de là. Or, il y avait dans mes propos une part de mauvaise foi évidente puisque janvier n’en est qu’à son quatrième jour et déjà j’ai matière à me réjouir. Ah bon ? Ben ouais !

En ce dimanche, c’est l’Epiphanie et à moins d’être un mécréant ou de n’être pas sorti de chez vous pour aller acheter votre pain, il est difficile d’ignorer que c’est le jour de la galette des rois. Toutes les boulangeries et pâtisseries exposent leurs merveilles dorées à point en vitrine. Et je ne vais pas être le dernier à m’en offrir une pour mon dessert !

Une galette pour deux, dodue et garnie de frangipane avec une fève énorme cachée en son sein. Pas de chance pour elle, ma douce ne mange pas de ce pain là. Pour autant, il n’est pas question de gâcher la marchandise, n’est-ce pas ? Comme je suis raisonnable, j’en mangerai une moitié à midi et le reste pour mon quatre-heures.

Finalement, on critique janvier mais il a aussi ses avantages et la galette n’est pas vendue qu’aujourd’hui…