Sous le poids du chagrin,
Parce que la douleur pèse sur les cœurs.
Sur la liberté d'expression bafouée,
Que certains cherchent, coûte que coûte, à anéantir
Au nom de LEUR loi.
Parce que l'humour a été mitraillé.
Et que la mort ne possède pas de second degré !
Sur les peuples en souffrance,
Que l'on réduit au silence
Que l'on prive de leurs droits,
Où la liberté est muselée.
Parce que le monde a perdu sa boussole
Et qu'il tourne à l'envers.
Pour que mes larmes rejoignent d'autres larmes
Et construisent un rempart contre la haine, la violence, la bêtise.
Pour que reviennent les sourires, les rires...
Texte © Marie-Laure Bigand