Nous
sommes nombreux à parler, peu à agir. Plût à Dieu, du moins, que personne, par
sa négligence, ne falsifiât la parole de Dieu, mais que nous reconnaissions
notre faiblesse et ne cachions pas la vérité de Dieu, sous peine de nous
charger, outre la transgression des commandements, d'une mauvaise
interprétation de la parole de Dieu. Maxime le Confesseur : Quatrième
centurie