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DIEUDONNE. Apologie du terrorisme (vidéo): dans les méandres d’une falsification et la fin de l’imposture Valls.

Publié le 04 février 2015 par Menye Alain

PARIS, France – L’humoriste Dieudonné vient de remporter une victoire retentissante contre l’oligarchie médiatico-politique française. De sinistres personnages bêtes, méchants, mais surtout frappadingues et malhonnêtes. En ce temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire, comme le disait si bien Orwell. Dieudonné n’est pas sorti du diable Vauvert mais a vu la victoire du droit et de la rectitude morale passer face aux prêcheurs de haine se drapant de manteaux immaculés et s’habillant d’oripeaux élogieux. Ambiance.

La langue française et le droit

Figurez-vous qu’il y avait, accrochez-vous, 10 parties civiles. Des croqueurs de diamants véreux. Tout commence à 13h30 avec l’entrée de Dieudonné et ses avocats, Me Sanjay Mirabeau et Me David de Stefano, soutenus par de nombreux supporters et amoureux de la liberté d’expression. Après avoir été traité comme un criminel pour…5 mots (Je me sens Charlie Coulibaly), sous injonction bien sûr de ce gouvernement de godillots ( arrestation par 10 policiers à son domicile et garde à vue), les choses sérieuses allaient commencer. Loin des mensonges véhiculés ici et là, même par des avocats véreux, la décortication sémantique des avocats du chansonnier allait mettre KO debout, la mascarade. C’est la fin de l’imposture Valls. Les médias sont nus. Manuel Valls est à poil et, Christiane Taubira devrait peut-être se suicider pour cacher sa honte. Vouloir faire croire qu’un prénom accolé à un nom, soit-il celui d’un terroriste est criminel, c’est l’ultime syncrétisme de la falsification médiatico-politique.

Volée de bois vert contre l’humoriste Dieudonné

Souvenez-vous, le 13 janvier dernier, nous avions publié un texte intitulé Dieudonné: « Charlie-Coulibly »: l’effroyable imposture médiatico politique ». Dans ce dernier, il était clair qu’il y avait quelque part, du mensonge. Extrait:

Cette volée de bois vert contre l’humoriste Dieudonné est une arnaque. Ici ou là, sans analyser les problèmes de fond, certains disent que l’humoriste devrait se taire. Et pourquoi donc ? « Je suis Charlie Coulibaly » est une déclinaison incestueuse et crasse, de la diffamation. Pourquoi ne voit-on pas aussi dans la vraie sortie de Dieudonné, la provocation, l’impertinence, la subversion, le non-conformisme, l’irrévérence ? Fichtre. Ah, ces grands défenseurs de la liberté d’expression ont plus d’un tour dans leur sac ! Mais, Dieudonné peut avoir bien dit « je hais Charlie Coulibaly » (voir synonyme), ce qui est son droit le plus absolu. Détester Charlie hebdo n’est pas un crime, à moins qu’une nouvelle loi dans ce sens-là ne soit votée.

Fin de vie pour le « juriste » Manuel Valls

Dans leurs différentes plaidoiries, le même leitmotiv, celui de parler du droit et de demander aux juges de dire ledit droit sans émotion ni pression et en toute conscience. Ainsi, La défense de haute voltige des avocats de l’humoriste allaient battre en brèche toute la gymnastique intellectuelle et toutes les éjaculations précoces des détracteurs du fou du roi, relatives au terrorisme intellectuel ambiant. »Apologie du terrorisme », dites-vous ? La dialectique morbide et mortifère anti-Dieudonné, mâtiné d’une négrophobie crasse qui ne dit pas son nom avait atteint son épilogue. Triturer le trait, un exercice astucieux et pousse-au-crime dont sont coutumiers les ennemis de la liberté allait s’avérer comme étant une énième fulgurance des fous, prêts à tout, pour gagner. La procureure a requis 30 000 euros ou 200 jours amende à 150 euros contre Dieudonné. Pour faire plaisir à qui ? Mystère et boule de gomme… On aura le résultat le 18 mars prochain, car le jugement a été mis en délibéré ce jour-là…Ça sent la relaxe…

Le mensonge à la jambe courte, très courte. A moins que ça ne soit un acte hautement politique – nous sommes (encore) en démocratie-, nul ne peut être condamné sans preuves. Dans le cas d’espèce, des esprits chagrins et malintentionnés sont entrés par effraction, d’une part, dans la tête de l’humoriste Dieudonné, et d’autre part, dans son « je me sens Charlie Coulibaly » en mentant comme des arracheurs de dents pour priver un homme de liberté. Les mots ont un sens. La forfaiture a accouché d’une souris. Finalement, croire en ses propres mensonges peut être dévastateur. Comment peut-on oser confondre ou faire des parallèles entre les verbes être et sentir, qui n’ont aucune commune mesure ? La falsification sémantique des accusateurs (médias et État), qui voulaient outrageusement tromper les Français, est dévoilée. Ils en sont pour leurs frais. Toute honte bue, certains n’évoqueront jamais ce rendu de justice, comme ils le font pour Charlie Hebdo. Prenons les paris.


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