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Marc De Smedt Une journée, une vie. Fragments de sagesse dans un monde fou

Publié le 14 février 2015 par Pestoune
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Résultat de recherche d'images pour Se basant sur des citations de grands penseurs, Marc De Smedt nous donne sa pensée sur des thèmes les plus divers tels que : ouvrir notre intelligence, sortir du désespoir, la quête du bonheur, de la sagesse, l’humanisation, la peur, le respect de la nature, la méditation…. Et j’en passe.

Il y a un tant soit peu de moralisation dans ce livre qui n’est pas un guide spirituel mais qui pourrait être un guide de vie. En effet, certains passages aident à réfléchir sur notre comportement, notre façon d’être et d’agir. Partant de l’idée que pour que le monde aille mieux, il faut que nous allions mieux nous-mêmes, que pour guérir le monde, il faut d’abord se guérir soi-même, ce livre nous incite à nous remettre en question, à réfléchir sur la façon dont on peut s’ouvrir et s’épanouir. Il essaye de nous aiguiller sur le chemin à prendre pour retrouver un esprit zen dans une morosité ambiante de plus en plus affirmée.

Voici quelques tous petits extraits qui m'ont interpelée :

« (…) notre conscience recèle un outil précieux : la possibilité de se regarder soi-même être et agir. Le regard introspectif nous permet de voir la qualité ou l’absence de qualité, de nos réactions. Pourquoi donc ne pas les tamiser davantage à l’aide du filtre de ce regard qui, comme une méditation, peut être à la fois intérieur et extérieur ?

Mais comment appliquer cela à une société malade ? En la percevant comme un grand corps qui aurait sacrément besoin de méditer et de s’aérer. Et la partie étant dans le tout, commençons par nous-mêmes ! »

« … la philosophie de la non-violence se base sur la décision de principe de refuser toute pensée, toute institution, toute action qui porteraient atteinte à la vie ou à la dignité d’autrui ; il y a donc de quoi faire, et pas moins aujourd’hui qu’hier ! On pourrait aussi la définir par cette règle d’or, que l’on trouve dans toutes les sagesses du monde : « Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu’ils te fassent », dont la version positive : « Fais aux autres le bien que tu voudrais qu’ils te fassent » implique certes une intrusion dans le jardin d’autrui, mais ne saurait être découragée dans un monde où la solidarité manque continuellement.

Gandhi considérait la non-violence comme une lutte contre l’injustice, mais sans visée de vengeance, avec au contraire une volonté de réconciliation et de reconnaissance mutuelles. »

Litterature


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