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Haute Couture : 1 Chacal, des Chassieux

Publié le 14 mars 2015 par Georgezeter
Haute Couture : 1 Chacal, des Chassieux

Le champion selon moua: Ce Karl - qui "Lagerfile" un mauvais coton ; Ce divin déchet portant mitaines. Comment suite à environ cent milles ans d'évolution du Cro-Magnon, a-t-on put en arriver à ce "Karl" là? Ce bipède de la Mode, de la haute couture qui pète aux emmanchures et chiures.  IMMONDE ! 

D'un autre coté, comment voulez vous qu'un tel australopithèque puisse se comporter de manière constructive lorsque que sa chatte, "Choupette" n'a pas moins de 40.000 followers sur Twitter... Choupette, a ses bagages Louis Vuitton, et deux gouvernantes qui la brosse 4 fois par jour. La chatte, a fait la couverture de Harper's Bazaar et va sortir son livre - Choupette, la vie enchantée d'un chat fashion édité chez Flammarion... Boite d'édition qui en son temps eu Zola ou Maupassant et bien autres pointures.

Le Karlos et ses potes de chez tutu, ont trouvé le moyen de "créer" la tendance "homeless" - SDF en français... C'est si beau des pauvres, si chic et en plus zont la ligne ramequin les gonzo; 1 repas restos du cœur par jour; bon pour ta ligne ma cocotte de 14 ans, mets toi sur le dos, enlèves ta culotte et sniffes ta ligne de coke. Il y a 70 ans, zauraient certainement demandé à Himmler de pouvoir défiler dans un camp d'extermination, les rayures bleues et blanches seront tendance qu'ils auraient balancés, ces macaques. D'ailleurs y'a eu l'exemple de Zara et sa marinière pour enfants à étoile jaune sur la poitrine vendue 12,95 euros ...

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, (mais rassurez moi), les rares fois où je tombe sur quoique ce soit parlant "d'eux", les modeux/modeuses, j'ai des envies d'apocalypse. Pas qu'ils me dérangent vraiment, nous ne fréquentons pas les mêmes caniveaux. Mais c'est juste cette connerie pure étalée à chaque "collection" hiver, printemps, été mon cul sur la commode, retransmise par les Tv pendant les journaux, d'un bout à l'autre de la planète pas nette. C'est comme l'industrie de l'armement, faut en parler, c'est bon pour l'emploi, la croissance, l'image.

De les voir surtout ceux qui "créent" et craignent, les Galliano, Dior, Versace, Vuitton, Gabana, Lagerfeld et autres ouistitis, sachant que chaque défilé peut aller chercher dans les 5 millions d'euros, que ces raclures vivent comme des pachas, des poussahs; avec une cour d'éphèbes, de gamines non pubères, d'êtres indéfinis, hystériques, mégalos, puants, cyniques, avachis, hypocondriaques, drogués, syphilitiques, alcooliques, névrosés et quelques autres amabilités d'esthètes; me donne l'envie qu'un jour d'entrer dans un de ces raouts crasseux de misère humaine et de déféquer sur les tronchasses des 1ers parvenus... J'ai intérêt à me bourrer avant d'aliments riches en merde, car, les "Karl" pullulent à foison n'est-ce pas l'Anna Wintour qu'en connait un rayon question chiottes.

Cette smalah, c'est l'bal des vampires. Tout y est bien organisé; chacun sa croix, chacun son sang.

D'abord le "créateur" - Souvent, un rase motte, gringalet pathétique et laid à pleurer, qui prend sa revanche. Ca me rappelle un peu Hitler, petit, pas beau qui passait en revue de grands et beaux solides SS bien blondinets. On est dans la même circonscription - le pouvoir, le contrôle, avec cette fois ci le pognon en +.

Ensuite, le sponsor : Chez nous l'incontournable Bernard - Jean Étienne Arnault et sa tronche en biais marque déposée Vuitton. On le voit roder à chaque vernissage, collection avec son air d'éjaculateur précoce-secouriste ; Respire pas le bonheur le mec qui s'est construit soi-disant par lui même une fortune énorme, alors qu'en fait il a kidnappé l'empire Boussac dans un coup tordu à 8 milliards avec l'aide de fonctionnaires, et que nous les cons de tribuables l'avons financé. De la "réussite" à la française. Passes moi les subventions, les crédits d'impôts et moi j't'enverrai la vaseline par pot de 12 étiquetés "tu l'as dans l'baba ducon"

Les Vedettes, les Stars: Les mannequins, féminins, ou ce qu'il en reste. Là, c'est échassiers et tites cervelles. Avec des airs de Castafiore métissées pélicans, sur des cannes de flamants roses, la donzelle défile. En fait, une vingtaine de mètres en avant, je tortillasses du croupion, je cligne et roule des yeux tel un lémurien, je me fous la bouche en cul de poule - demi-tour, une vingtaine de mètres je disparais, et hop, j'empoche la grosse galette. En général, j'suis pleine de coke, et d'une méchanceté incommensurable. Voir l'autre bêtasse de Naomi Campbell payée des  millions qui avec son nom de boite de soupe fait souffrir à qui mieux-mieux son entourage.

Les mannequins hommes. Quand je dis hommes hein, c'est parce qu'ils en ont deux; pour le reste... Faut chercher, où est le mâle? Faut dire que jouer les portemanteaux, n'est pas très valorisant, d'autant que, très peu d'entre eux gagnent des montagnes. Ils pourront devenir toutefois, gigolos, entretenus ou prostitués-escortes boys, voir Chippendales ou avaleurs de sabre. Des perspectives pour vos garçons les mamans qu'auraient l'idée d'envoyer vos rejetons dans cette carrière, non pas de marbre, mais de merle à frire.

Les sous fifre, souffre douleur. Ce sont les mannequins non-bancable, très-très jeunes.  Payés sous la table, où avant il a fallu se glisser mainte fois afin d'assouvir des pulsions pressentes venant de ceux, nommés plus haut. Ces faire-valoir passent plus de temps en position horizontale que verticale, qui admettez, n'est pas très pratique pour les défilés, mais si commode pour le contentement et le bonheur frelaté de vieux photographes dégueulasses, libidineux à poil laineux.

Les photographes. D'accord, pas mettre tout le monde dans le même panier - la main au panier. Okeyyyy ! Mais, un Thierry Richardson de 49 ans aux penchants affirmés pour les jeunettes qui d'ailleurs ne s'en cache pas: "je permets à ces très jeunes filles d'explorer leur sexualité"; Yep! comme ça. Allez, envoyez vos gamines pour un shooting avec le grand artiste, si la petiote ne trouve pas de contrat avec son book, au moins, elle aura appris quelque chose. J'ajoute que ce grand parmi les grands publiait un ouvrage de 358 clichés de son pénis en érection, et servant de jouet à ses modèles...

Les agents, engeance, journaleux, gens de com. de corde.  Eux, c'est ces paons qui tueraient pour avoir des sièges au premier rang. Je crois dans ce hitparade de l'horreur qu'ils ont la palme. L'agent, tel le souteneur fait cracher au bassinet; mais est prêt à vendre sa marchandise sur pied pour n'importe quelles destinations, n'importe quels patibulaires, n'importe quels défilés au fin fond de la Mongolie. Pour lui, les "filles" sont de la viande plus ou moins variqueuse. Point, ne pas regarder la date de péremption sur la boite. Les journaleux-langues de pute, telle l'Anna Wintour, et son air de chatte écrasée, qui bave que des saloperies fielleuses depuis des 50 ans. Quant aux gonzesses de la com. sont là, pour rebalancer les bonnes paroles du "maestro", et pour filtrer ses ignominies spongieuses.  

Le public, le puteblic Tous ces peoplelitiques qui au lieu de bosser font voir leur tronche repue par des déjeuners trop arrosés, leur grosse panse, leur marbrures faisandées. Ils sont accompagnés par des vioques refaites à neuf, des jeunes refaites à neuf, et des... Ni l'un ni l'autre, mais des gens connus, que le bon peuple adore.  Faut dire que le milieu de la haute couture se porte bien: on estimait il y a 20 ans à un potentiel de 90 millions de clientes de par le monde, aujourd'hui?  Bingo, 300 millions ! Des grosses qui peuvent se payer ces parures coutant 10 ans de salaires d'un ouvrier, où ce qui en reste de l'industrie de textile. Ya bon banania !

Enfin les petites mains, petits nains. Les coiffeurs, maquilleurs, maquignons, autres vibrionnant. Eux, ils leur restent de se faire houspiller, insulter, battre et dire merci mon maitre. Sont pas des humains, mais des "tu n'existes pas cloporte, suces moua". 

Je cite une sortie de Lagerfeld tout fière et sans filet : "Je déteste les manucures, la dernière fois que la fille a fait quelque chose de travers, je l'aie giflée"...

Bosser pour le gnome vêtu de noir, à catogan, lunettes noires et mitaines. Look plus connard pas possible, mais en références à un certain Hugo Boss qui en son temps a sut habiller et "looké" les armées du Reich de 1000 ans d'Adolph. D'ailleurs un jour de pétage de plomb il envoie ce tartublette : " Je vais tous vous exterminer, tas de minus, Hitler avait raison, tout le monde est mal habillé sauf moi "... Dire que Dieudo a eu beaucoup + d'emmerde pour bien moins que ça... Mais hey! C'est Karlito, ce führer au regard si doux, si indispensable à nos exportations, lui qui ne rêve que de déportations des pôvres, des sans dent, des sans-culotte qui enlaidissent le paysage merveilleux de ce créateur de mes deux...Mais quelle horreur ma Choupette cette pauvreté mal fagotée, une horreur ! 

Récemment pour son défilé, il a reproduit les allées d'un supermarché au grand palais. C'est le genre de mec, qui en pleine famine aurait le culot de ce genre de concept. N'oublions pas que bien souvent l'hiver, en France, des millions de familles crèvent la dalle; alors, ben pour lui, c'est conceptuel, proche de son époque fantasmée ; et les "beautiful people" and "happy few" purent s'installer entre les rayons de coquillettes monogrammées : C.C pour Coco Chanel.  Putain, où j'ai collé mon bazooka ?

Bref, cet article ne changera rien, dans ce nid de crotales, de crottes, d'étrons.  Mais sans le savoir "ils" "elles" sont au bord du gouffre, qui les happera l'heure venue.

Le mot "mode" est respectable seulement employé dans "Tripous à la MODE de Caen"; voilà, et c'était ma version.

Georges Zeter/Mars 2015

Article inspiré par "La mode est-elle devenue con?"

Marianne - N°908 - Sept 2014


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