Carnet littéraire? Un nouveau genre littéraire? Connaissant l’œuvre de Robert Lalonde, si c’est l’art de décrire ce qu’on voit, observe, vis lors de randonnées, je suis foutue. Je suis zéro dans les descriptions. Même en me forçant, même en restant ouverte à ce que j’observe. Les mots qui me viennent ne sont pas de l’ordre de la nature que j’aime pourtant beaucoup.
Aussitôt sur Google, je trouve une explication dans une entrevue publiée dans la revue Les librairies >>>
Après lecture de l'article, après partage et commentaires sur Facebook, pour avoir un écho sans doute.
Me donne le goût de lire les deux carnets d'écrivains déjà publiés chez Lévesque éditeurJe me précipite sur la BANQ et j’emprunte Comme une seule voix, parce que déjà en 1999, Le tailleur de confettis de Francine Chicoine m’avait beaucoup plu. Une écriture, un sujet comme je les aime.
Me donne le goût de participer au camp littéraire Félix
Me donne le goût d'écrire autrement.
Comme souvent, je veux tout, je veux tant, je veux temps.
Et voilà que ses courts paragraphes me plaisent déjà. Je n’y retrouve pas ces descriptions qui me font si peur. Des textes de quelques lignes qui me rappellent mon premier livre publié : Je me veux.
M’inscrirais-je à cet atelier? Peut-être pas, mais aujourd’hui, ici, bonheur du jour. Lecture du jour. Dehors, à l’abri d’un faible vent, le soleil chauffe la galerie. Mon corps et mon cœur aussi.
Et je lis. Et j’écris.
Illustration empruntée au site du Camp littéraire Félix >>>