Il
n’est pas pour l'âme de peine plus lourde que d'être calomniée, soit dans sa
foi, soit dans sa conduite. Personne ne peut y rester indifférent, excepté
celui qui, comme Suzanne, regarde vers Dieu, seul capable de l'arracher comme
elle au péril, de découvrir aux hommes, comme il l'a fait pour elle, la vérité
et de consoler l'âme par l'espérance. Maxime le Confesseur : Quatrième
centurie