de la charité 4-LXXXVIII

Publié le 31 mai 2008 par Moinillon
Il n’est pas pour l'âme de peine plus lourde que d'être calomniée, soit dans sa foi, soit dans sa conduite. Personne ne peut y rester indifférent, excepté celui qui, comme Suzanne, regarde vers Dieu, seul capable de l'arracher comme elle au péril, de découvrir aux hommes, comme il l'a fait pour elle, la vérité et de consoler l'âme par l'espérance.
Maxime le Confesseur : Quatrième centurie