Affiche du film "Brèves de comptoir"
À l'occasion de la sortie du filmBrèves de comptoir, voici une nouvelle série de jeux de mots et autres expressions qui prêtent à rire/réfléchir/rougir/etc., ainsi qu'une version de la pièce de théâtre filmée (désolés, on n'a pas celle du Théâtre du Rond-Point diffusée en mars 2010 sur F3 mais cherchez toujours).
- T'es maudit, un vrai sinistré de la vie
- On pourrait se voir, prend ton temps c'est pas pressé ... disons ce soir ?!
- C'est tellement drôle que j'en ai des vertiges
- Ou je suis un génie ou il est le plus con depuis Louis XVI
- Faire feu (flèche) de tout bois : faire un feu/une flèche à partir d'un morceau de bois quelconque. La métaphore est donc aisément compréhensible : vous êtes prêt à utiliser n'importe quel moyen pour arriver à votre but
- Tu vas où ? Même direction que toi, mais plus loin {Château ambulant}
- L'avantage avec la vieillesse c'est qu'on ne s'étonne plus de rien {Château ambulant}
- Un cœur est lourd à porter {Château ambulant}
- L'inconstance des sentiments est la seule chose durable en ce monde {Château ambulant}
- T'es mon meilleur ami donc je te dis ce que tu veux entendre
- Tu es comme l'appendice : à une époque tu devais avoir une utilité mais c'était il y a si longtemps que personne ne se souvient laquelle
- Les ennuis prennent moins de place quand on arrête de les ressasser
- Ce ne sont pas les choses qui changent mais notre façon de les appréhender
- Sans la confiance rien n'avance
- Existence sans rime, sans raison ni sens
- John Doe (version féminine : Jane Doe) : expression pouvant désigner une personne non-identifiée ou un homme de la rue. L'équivalent francophone pourrait être " Monsieur X ", " Monsieur Dupont ", " Monsieur Durand " ou encore " Monsieur Tout-le-monde ", " un citoyen Lambda ". L'expression est employée dans les administrations anglo-saxonnes pour désigner une personne non-identifiée : un blessé inconscient ou un mort n'ayant pas de papiers sur lui est inscrit " John Doe " (respectivement " Jane Doe " pour une femme) par l'hôpital. L'utilisation de John Doe a été retracée dès 1768 en droit coutumier anglais, où " John Doe " désigne un plaignant inconnu, alors qu'un accusé anonyme est appelé Richard Roe.
- " quidam " qui signifie initialement " simple mortel " par opposition aux Dieux et aux hommes de pouvoirs. De là est venu l'effet Quidamus, lorsqu'un simple mortel bouleversait consciemment ou non (ne serait-ce que par sa simple présence au mauvais/bon endroit, au mauvais/bon moment) les plans des Dieux ou des puissants, en bien ou en mal.
- Gloire par besoin de se rassurer
- Celui qui a vu sa colère sait ce qu'est l'enfer
- J'ai besoin que les autres aient besoin de moi
- Garde plutôt pour toi ce que tu dis tout fort
- Ce soir tu ne me touches pas, même pas en rêve
- Si tu es trop disponible pour l'autre tu deviens invisible
- Je suis hétéro mais je le regrette
- Saute aux pattes : saute dessus
- Ils se sont quittés/retrouvés plus souvent que Rachel et Ross
- D'abord on vérifie si on a des choses en commun, ensuite on échange sur des aspects personnels, finalement on essaye de savoir si célibataire (ou en tout cas libre/disposé)
- Grand Amour ou ultime recours/secours ?
- Épouser X ou juste envie de se marier pour être comme tout le monde
- Cœur enfermé dans une cage dont tu as brisé la serrure pour me Libérer et s'envoler tous les deux
- Principe de parcimonie [épargne minutieuse, parfois mesquine, qui s'exerce sur des petites choses] : la chose la plus simple et directement sous les yeux est la bonne solution
- T'es jolie comme un cœur
- Je ne sais pas quoi dire, comment faire ! Tu viens de choisir !!!
- Attendre que la mort survienne, que la morsure vienne
- Le mensonge est une longue communication entre humains
- La lune est l'autre face du soleil
- Pas de sermon, je ne me sens pas coupable
- Quand on demande un avis/conseil, c'est juste pour se rassurer sur une décision déjà prise (confortée ou contre-positionnée)
- Le mariage est une longue et dure bataille pour laquelle les hommes ne sont pas armés
- Revient en rampant à travers le désert de la honte pour boire la goutte de l'indulgence à l'oasis de l'espoir
- Pour le diagnostic, rappelle-toi ce que tu as entendu sans écouter
- Les moches sont tellement reconnaissant(e)s qu'on leur porte un intérêt quelconque qu'ils/elles font deux fois plus d'efforts
- Le jour où X mourra, le paradis aura le goût d'enfer
- La dernière ombre avant l'obscurité des ténèbres
- Le smiley c'est quand j'ai pas le moral, le sticker flingue c'est quand j'ai vraiment pas le moral
- Quand je souris ça me fait mal, c'est douloureux
- Je ne me fie qu'à la raison et me méfie des affects
- T'es barjot ... bon, on se voit après le boulot ?
- Relation humaine/amoureuse : un grand bond dans le vide, faut sauter le pas
- Ma puce, parasite suceur de sang
- On passe sa vie à s'inquiéter de ce que les autres pensent de nous mais souvent c'est nous le plus dur envers nous-mêmes
- Comme une île : on visite mais on n'y reste pas
- Se couper du monde et s'emmurer vivant
- 5 cocktails : je suis prêt à sortir le poisson hors de l'eau
- J'ai tellement envie de croire (et peur d'entendre le vrai dans) ce que tu dis que je vais dire que je te crois
- Une bonne rupture est celle qui fait autant mal qu'elle est inoubliable
- L'Amour est une fusion dans un grand tourbillon quantique de trou noir
- Idée = mal de tête avec des images
- Se payer sur la bête (à deux dos)
- Attend, je me remémore la soirée... et là c'est le drame... "heu... nous deux on a ... ? nan hein?!" Parce que merde, si c'est le cas j'aurai aimé "être là" et m'en souvenir
- La violence, quand elle est équilibrée, est parfaitement inefficace/inutile
- Ça te branche de faire l'étoile de mer ? : sur le dos en vrac, bras et jambes écartés immobiles, incapable de bouger ne serait qu'un cil
- Les temps changent, les humains non
- Vendetta contre l'état
- Me demander ça c'est comme chercher à savoir si Edison connaissait le téléphone rose
- Les leucocytes (globules blancs) de l'utérus chassent en groupe les spermatozoïdes trop lents
- Reconnaissance de soi narcissique (miroir) chez les primates, éléphants, dauphins, chez le bébé de deux ans (âge aussi de l'empathie, se mettre à la place de l'autre)
- Les pétales tombent quand la fleur s'est éclose
- La popularité est une prostituée, elle couche avec le premier venu (Devedjian)
- Si la victoire est annoncée alors la défaite est probable
- Soins psy : se faire aider à s'échapper de soi-même
- Être humain, ça s'empêche (Albert Camus)
- Propos liminaires (relatif au commencement de quelque chose)/laminaires (régime d'écoulement d'un fluide dont les différentes couches glissent les unes sur les autres sans se mélanger)
- on est tous le bon ET le mauvais coup de quelqu'un
- plus jeune on est plus dans la performance et pas forcément dans la recherche du plaisir, enfin un peu quand même mais ce n'est pas la priorité. Avec l'âge on sait un peu plus ce qu'on vaut et donc ce qu'on veut ... surtout on pense plus au plaisir de l'autre avec l'âge, et si l'autre fait de même c'est là, à deux, qu'on est un bon coup(le). Quand on est en phase, c'est un échange de très bons procédés, on se rend service, c'est donnant-donnant
- ne me parle pas de la vie quand je parle de ma vie
- cochon celui qui s'en délie, chien celui qui tope sans tenir [Kaamelott]
- elle me plait pour les même raisons que je lui déplais
- tourner autour du feu de l'Amour comme un papillon ébloui
- Son passé est un mystère et son destin une énigme
- Sainte Reine et Olibrius : hypothétique gouverneur des Gaules, réputé avoir martyrisé sainte Reine en l'an 252. Tourné en ridicule dans les représentations de mystères du moyen-âge, ce serait de lui que vient l'utilisation d'Olibrius dans le langage (il existait aussi : un préfet d'Antioche persécuteur de Sainte Marguerite († 275) ; un empereur d'Occident, Olybrius (Olibrio en italien) porté au pouvoir, à sa plus grande surprise, en 472, par le patrice Ricimer et ne régna que 3 mois). Le nom d'Olibrius est devenu un substantif, dans le langage courant, pour désigner un bravache, un fanfaron cruel, un assassin " occiseur d'innocents " (Molière).
- Claude-François Malet : général d'Empire, auteur du coup d'État de 1812 contre Napoléon, durant la retraite de Russie.
- Goton : Fille de ferme, de cuisine; en partic., servante mal tenue ou aux manières négligées. P. ext., pop. Fille ou femme de mauvaise vie. Synon. gourgandine, prostituée : issu par aphérèse de Margot (dér. avec suff. -ot* du rad. du prénom Marguerite), utilisé dès le mil. du XVIe s. comme prénom d'une femme aux mœurs légères
- Nous avons le pouvoir de reconstruire le monde (Thomas Paine, citation favorite de Reagan) ; " le passage du temps fait plus de convertis que la raison. " (The Common Sense, janvier 1776)
- Quand on fait une erreur, on encaisse les coups, c'est une leçon, et on avance (Reagan)
- Quelles que soient les circonstances de l'époque, nous pouvons choisir notre destin (Reagan)
- Faire ses preuves/classes pour obtenir ses lettres de noblesses
- Les gens sont toujours plus complexes que l'image qu'on a d'eux
- Plus intelligent et avisé que le pensaient les gens de droite, moins formidable que le pensaient les gens de Gauche
- N'en jetez plus, la coupe est pleine
- On peut tout imaginer mais pas le pire ... même si on y pense quand même
- La certitude engendre la vérité, mais si la vérité existe, les certitudes non
- Mon intelligence au service de mes vices
- Je n'ai rien trouvé, mais j'aurai pu me tromper (et avoir raison)
- Blanc, noir, le contraire de tout
- Faire chou blanc : Cette expression pourrait venir du Berry où un coup se prononçait "choup" en dialecte berrichon. Au jeu de quilles, très en vogue au XVIe siècle, un c[h]oup blanc était un coup nul, sans résultat. Un autre 'coup blanc', pourrait venir de la fumée blanche produite autrefois par des coups de feu tirés, même sans aucun résultat.
- Tenir la dragée haute : Faire sentir son pouvoir à quelqu'un, faire longtemps attendre quelqu'un et ne lui procurer qu'une petite quantité de ce qu'il attend. Cette expression date du XVIIIe siècle. Deux écoles s'affrontent quant à son origine. La première fait simplement le rapprochement avec un ancien jeu d'enfants où ils devaient attraper une friandise suspendue à un fil. Celui qui tenait le fil et tirait dessus selon son bon vouloir pour empêcher les marmots d'attraper trop facilement le bonbon avait sur eux une certaine forme de pouvoir. La deuxième vient aussi d'une friandise, mais destinée aux chevaux, cette fois. La 'dragie' (déformée ensuite en dragée) était une botte de fourrage vert, mélange de froment et de sarrasin, gourmandise dont raffolaient ces équidés mais dont ils ne devaient pas abuser. Pour dresser le cheval et lui apprendre à maîtriser sa gloutonnerie, ces dragies étaient placées haut dans son râtelier, hors de sa portée. Et on ne lui en distribuait ensuite qu'avec parcimonie
- Scrupule : petit caillou dans la sandale d'un légionnaire qui ralentit toute une armée
- Je t'avais mal jugé, finalement t'es quelqu'un de bien
- C'était à prévoir, mais j'avais pas vu que ça me ferait si mal
- Mourir c'est prendre de la hauteur
- L'avenir comporte toujours des risques
- Improbable, possible, réussi
- Pas besoin d'être grand clerc pour le comprendre : Le mot clerc est issu au XIe siècle du latin clericus qui signifiait " membre du clergé ", puis également " lettré ". Il ne faut pas oublier qu'en ces temps lointains, les membres du clergé étaient presque les seuls à savoir lire et écrire, ce qui, aux yeux du peuple, en faisait des savants. C'est un grand clerc s'utilisait " en se moquant d'un homme qui fait le savant ", probablement avec une connotation anticléricale. La mauvaise opinion des clercs est d'ailleurs confirmée dans le Dictionnaire des proverbes français en 1749 où, à la même locution, c'est la définition " un sot, un niais, un homme qui s'en fait accroire " qui est associée.
- Quand on est amoureux, la testostérone diminue chez les hommes alors qu'elle augmente chez les femmes
- Je commençais à marcher droit quand tout autour de moi s'est mis à vaciller
- Je ne me suis pas écroulé, c'est le monde autour de moi qui s'est écroulé
- Le Peuple est comme l'eau : il peut porter votre navire ou le couler (empereur Tang)
- Je l'ai pas en tête mais noté en pense-bête
- Met l'accent plus sur les détails que sur la taille
- Se mettre la rate au court bouillon : à mettre en parallèle avec les mauvais traitements qu'on peut infliger à son propre corps lorsqu'on se fait du souci, comme dans les expressions de même sens "se faire du mauvais sang" ou bien on "se faire de la bile".
- D'aimables zakouski comparé à : Hors-d'œuvre russes et polonais, d'une grande variété, généralement servis dans une autre pièce que celle où a lieu le repas.
- Ce sont les bleus à l'âme qui font le plus mal
- Aussi belle qu'un magnolia en mai
- Algarade : Attaque militaire brusque destinée à semer l'effroi, altercation vive et soudaine avec quelqu'un.
- Tu vaux même moins que quand tu valais moins que rien
- Coucher de poule, lever de corbeau, éloignent l'heure du tombeau
- Le vin vieux et les jeunes femmes sont les meilleures distractions de la vie
- J t'ai aimé comme jamais jusqu'alors, ni même depuis
- Il t'a bien entraîné mais ne t'as pas tout enseigné
- Je te cherche partout depuis des heures ! Quelle coïncidence, moi je cherche à t'éviter partout aussi depuis des heures !!!
- Je ne pensais pas à la Mort, la Mort ne pensait pas à moi, un jour j'ai cru rencontrer l'Amour, c'était la Mort
- La Mort dans l'Homme, l'Amour dans l'âme
- Coup de tonnerre sans éclair, dans un ciel sans orage ni nuage
- S'associer ou lutter l'un contre l'autre, mais si association vous perdez tous les deux
- Abandonner le navire car les mousses ont contesté le capitaine (mutinerie)
- Plus ou moins, mais plutôt moins que plus
- Si l'enfer existe, tu rêveras d'y aller en permission
- Deuxième naissance est quand on gagne sa place dans la société
- Rien de tel que le feu pour nettoyer
- Et moi qui espérais encore être dispensé de mourir en martyr
- Ils s'abattront comme une pluie sans fin
- Je ne prends pas parti, je veille juste sur l'équilibre des partis-pris
- Mission réglée en cinq sets, je veux rentrer à la maison pour dîner
- Quand c'est sa fête faut être ponctuel : on ne renaît pas tous les jours
- Double s fermé : signe d'Amour
- Une sirène qui charme pour perdre le marin d'eau douce, qui aurait mieux fait d'aller voir l'une de ses femmes dans l'un de ses ports
- Tu vois le mal partout ! Oui beh toi tu le vois nulle part !!!
- Si la femme est la copie de l'homme, nous n'en sommes que sa caricature
- Y a pas plus de x que de beurre en branche
- Bande de crétins dirigés par des abrutis
- L'Amour se nourrit de coïncidences et dangers
- On ne distingue plus la machine de l'humain, ni l'humain de l'animal
- Depuis le temps que ces cons nous prennent pour des cons, on est un peu con nous aussi (Coluche)
- Arrête de te torturer, je suis là pour ça
- Les progrès de l'humanité se mesurent aux concessions que la folie des sages fait à la sagesse des fous {Jean Jaurès}
- il ne paye pas de mine, mais mine de rien ...
- tu m'as dit au revoir si souvent auparavant
- c'est la plus gaie des chansons tristes
- chargé jusqu'à ras-la-gueule
- je vous laisse 5 minutes, le temps que je me prépare en 10 minutes
- L'excès d'acrimonie {aigreur qui est ou qui paraît méchante, blessante} renforce celui qui en est victime.
- Si la modération dans le ton et la justesse des critiques ou des louanges permettent de convaincre, l'invective agace et sert tout juste à défouler celui qui la profère
- effets délétères de la fin annoncée du pouvoir, lorsque les courtisans disparaissent et les ambitieux se détournent
- ce silence n'est pas un bon signe
- sans fard {" procédé par lequel on essaie de dissimuler ou d'embellir la vérité "} : Agir, parler sans fard. Sans dissimulation
- Il y a toujours trois phases dans la psychologie d'un couple. La première, de discussion. La deuxième, d'engueulades. Mais, lorsqu'on ne parle même plus, c'est que la crise est grave
- vrillé les nerfs et usé les patiences
- avant que le gros vent ne tourne à l'orage ou à la tempête
- de nombreux commentaires et... assez peu de débats : avis tranchés, critiques sans appel, sentence définitive
- Je ne m'en cache pas, mais je ne le dis pas. Je préfère qu'on me connaisse avant de me poser une étiquette. Sinon, on ne m'écoute pas, car on croit savoir ce que j'ai à dire sur ces questions. Or je cherche à être crédible et jugée sur mes compétences
- l'humain est plus grand que ses erreurs
- la pornographie c'est l'érotisme des autres
- " satis superque " (sont assez et même plus qu'assez)
- Je tiens ce que les autres promettent
- Regarde-moi, touche-moi, effleure-moi, possède-moi, contrôle-moi, exalte-moi, ressens-moi, protège-moi, déteste-moi, quitte-moi, aime-moi, retiens-moi ! Je suis Giulietta : mieux que des mots, essaye-moi
- Sans cœur nous ne serions que des machines
- allécher le chaland avec cette tirade
- X ne sont forts que de notre faiblesse
- Paul-Émile Victor : "Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie."
- " Je suis les liens que je tisse avec d'autres. " A. JACQUARD
- Tu m'as dit " je t'aime " je t'ai dit " attends ", j'allais dire " prends-moi ", tu m'as dit " va-t-en ! " {Jules et Jim, François Truffaut, 1962}
- T'es plus à jour, tu rames... Tu veux te mettre à jour, tu galères