C'est vrai que je jubile quand je reconnais la grande (taille) Catherine Nay dans la file devant moi aux caisses de la Grande Epicerie de Paris (rue de Sèvres, Paris 6ème). Que j'y achète sans regarder le prix, d'adorables pastilles blanches de la taille de l'ongle de mon pouce qui se transforment en mini serviettes rince doigts quand on verse de l'eau chaude dessus. Indispensables pour vos soirées tapas, moi je dis.
Vrai aussi que j'aime toujours arpenter les rayons de Le Bon Marché (même adresse) devenus de véritables galeries d'art avec happenings invraisemblables, so fun. Je ne fait d'ailleurs qu'arpenter depuis quelques années because le style, les tailles et les prix devenus oufs. Mais bon avec un gros effort sur soi il est encore possible de s'y promener pour le plaisir un peu pervers de ressentir un sentiment d'exclusion bizarre et presque délectable.
Par contre je dis non au nouveau site ouèbe de LBM. Interface compliqué, menus sous forme de stabiles instables, de manèges qui donnent le tournis, icônes qui se sauvent devant le curseur, on se croirait à la chasse aux papillons. Il faudra qu'on m'explique comment ils ont fait l'étude préalable pour satisfaire les clientes-internautes puisqu'il parait que c'est aussi un site d'e-commerce.
Par ici pour la visite : http://www.treeslbm.com