Loin de moi l’idée d’un titre provocant : je sais bien qu’Athènes, comme toute la Grèce, se prend une crise de plein fouet et plonge dans une désespérance qui semble sans fin. Alors oui, depuis ma précédente visite, il y a neuf ans, Athènes a changé : il y a moins de grosses voitures, plus de personnes qui font la manche. Mais tout cela est dit et reredit dans les médias, je préfère parler ce soir de ce que j’ai retrouvé d’Athènes, pile poil comme en 2006, du goût de l’ouzo à la convivialité locale si appréciable.
Il y a donc toujours, à Athènes, des ballons d’eau chaude sur les toits … :
… des gardes avec de jolis chaussons à pompons devant le Parlement, à côté de qui les touristes adorent se faire photographier … :
… après être montés en masse à l’assaut du Parthénon :
Il y a aussi toujours des tortues qui gambadent dans les sites archéologiques … :
… des chiens qui dorment un peu partout dans la ville … :
… des chats familiers qui, pour les moins timides, osent réclamer un petit plus lorsqu’on est attablé au resto :
Et enfin, dans les ports touristiques de l’Attique, les poulpes sèchent (ou décongèlent) sur des fils :