Valerie Trierweiler
Dans Le Parisien ce matin, l’ex première dame règle encore ses comptes contre François Hollande. Ok ! sur ce plan, je suis de tout coeur avec elle depuis le début. Je comprends l’humiliation dont elle a été victime. Mais, « pas touche » à ma Ségolène Royal !
L’attaque est violente.
« J’ai servi d’instrument pour la conquête du pouvoir. » Valérie Trierweiler, l’ancienne compagne de François Hollande, étrille une nouvelle fois le chef de l’Etat ce mercredi dans les colonnes du Parisien. « J’ai cru à cet amour, mais il n’y avait pas de place pour une autre femme dans cette histoire », affirme la journaliste, faisant référence à Ségolène Royal. « Maintenant, ils peuvent se retrouver et s’entraider. Utiliser à leur profit les médias et le pouvoir dont ils raffolent l’un comme l’autre », poursuit Valérie Trierweiler, en pleine psychose.
« La psychose, elle, est un état chronique de pétage de plombs qui vous fait prendre des vessies pour des lanternes. Les deux principales psychoses sont la schizophrénie et la paranoïa. », disait Jean-Loup Chiflet dans Nouilles ou pâtes: le bon sens des mots ( Mots & Cie, 1999, p.68)