Le mensonge peut courir cent ans mais la vérité le rattrape en une journée, dit le dicton du sage Haoussa. Les amis du cuistre-escroc ne savant plus où donner de la tête. Dans une défense désespérée, ils trébuchent de jour en jour en voulant inventer des historiettes abracadabrantesques me concernant (j’y répondrai plus tard). Or, lorsqu’une personne s’estime être diffamée, ou alors qu’elle tient à dénoncer un procès en sorcellerie, il reste deux solutions idoines: le droit de réponse ou un démenti formel. Quand le seul syntagme est en réalité la fuite cachée derrière de faux prétextes, il faut comprendre que le voleur n’arrive plus à dormir. Il est nu, à poil.
Or, la nouvelle forme de défense du fayman et/ou escroc, véhiculée par ses amis est ce syntagme: « je m’en fous d’Allain Jules ». Minalmi ! Vous l’aurez compris et d’après nos informations, le « tribunal des siens » est terrible. A la question de savoir si les documents dits d’Allain Jules sont faux, l’homme répond dans son français petit nègre: « Aka, que j’aille alors en prison on voit ». Une fuite en avant qui en dit long. Le chevalier blanc autoproclamé est victime de ses propres turpitudes, de ses mensonges et tout le reste. Il n’a rien à faire valoir et se croyait à l’abri aux Etats-Unis. L’homme qui ne peut plus mettre les pieds dans l’espace Schengen, après le port probable de sa combinaison orange dans les prisons américaines, risque d’être renvoyé au Cameroun.
On peut donc comprendre sa peur car il n’a aucune possibilité, rien dans les chaussettes, pour pouvoir riposter dans la légalité comme nous le faisons avec ces preuves. Pour l’anecdote, face à la pression exercée, l’homme a juré d’avoir la peau de Mme Sylvie par…magie noire. Voyez vous même le niveau. Qui a peur de ce pleutre ? Que d’inepties ! Personne ne demandait à ce voleur de se taire, encore moins de dénoncer mais, encore fallait-il que lui, le justicier de satan, soit irréprochable. Ce n’est hélas pas le cas. Il sent à nouveau le vent souffler très fort dans son dos, ce dernier le poussant encore vers la case prison. Le repris de justice a des souvenirs douloureux et pas très glorieux de son passage dans le milieu carcéral français. Vous voulez aussi son numéro d’écrou ? Hum !
Voici les nouvelles preuves du décompte des escroqueries (en dessous) de Patrice Bodo Nouma à l’encontre de Mme Sylvie et dont il ne veut s’acquitter. Comme tout bon mafioso. Vous verrez qu’il ne peut échapper à son destin, le vrai, c’est à dire celui de voyou de grands chemins, en lieu et place de celui qu’il veut se doter frauduleusement. Le pleutre sent l’étau se resserrer sur lui. Ses soutiens tremblent, gigotent, pleurnichent en lançant des cris d’orfraie. Mais, à qui la faute ? Surtout pas à nous qui ne faisons que notre travail. Quant à lui, si l’escroquerie est un travail, qu’il arrête le mélange des genres.
Regardez bien les trois derniers documents. Ces derniers montrent bien que Mme Sylvie a un compte nominatif sur Western Union et qui trace tous ses envois. Sur Money Gram, c’est idem. Ce n’est pas parce que les gens sont naïfs qu’il faut abuser d’eux. Quant aux défenseurs du braqueur, ces maquignons du prêt à penser qui veulent disculper un criminel, qu’ils poursuivent dans le fiel. Mais, ils n’ont plus pour longtemps avant que la foudre ne s’abatte sur leur champion. Comme les nazis, il ira sans doute se réfugier en Amérique latine avant l’orage.
Hein, mon coco, comment pourras-tu expliquer ces envois d’argent…? Qu’as-tu fait avec …? Ne dit-on pas très souvent qu’un bien mal acquis ne profite jamais ?
Avant d’accuser un tiers, encore faut-il apporter des preuves factuelles voire matérielles, que de brailler comme ces assoiffés de sang, des loups affamés, qui citent des noms à l’emporte-pièce…C’est tout pour le moment !
Game over !
Ce diaporama nécessite JavaScript.