Il
n'a pas encore la liberté intérieure, celui qui, lorsque survient une
tentation, ne peut fermer les yeux sur la faute de son ami, réelle ou
apparente. Ce sont en effet les passions tapies dans l’âme qui se soulèvent,
obscurcissent le jugement, l'empêchent de se tourner vers les rayons de la
vérité et de distinguer le meilleur du pire. Cet homme-là n’a donc pas la
charité parfaite, celle qui bannit la crainte du jugement. Maxime le Confesseur : Quatrième
centurie