Il y a eu Le Gaucher, Luke la main froide, Le clan des irréductibles et puis évidemment Butch Cassidy and the Sundance Kid. Voilà des films que je ne suis pas prêt d'oublier, tellement ils m'ont fait rêver et grandir. J'en ai eu plein les mirettes !
Sans connaître ta filmographie sur le bout de doigt, je me rappelle de ton charisme, de ta gueule, oui ta gueule au regard perçant, ton aisance de cow-boy qui fascinait le gamin que j'étais. Et puis je t'ai retrouvé dans Les sentiers de la perdition, v'là comment t'en imposais dans ton rôle de parrain irlandais. Je ne suis pas prêt d'oublier ton personnage, sa dimension dramatique, son déchirement et sa scène finale. Tu rayonnais !
La génération qui comme moi a connu La dernière séance et autres films du mardi soir (parce que le mardi c'était permis !), ne risquent pas de t'oublier toi et ton regard qui nous enterrent tous.
A la prochaine cow-boy !