Vue du site sur lequel je travaille
Vue du site de stockage du souffre (à droite) et l’ancien site à gauche le nouveau site se devine au fond là ou il y a les flammes des torches
Le dilemme c’est que pour beaucoup de personnes travaillant sur le site, cela représentera la fin de leur contrat ici. Les expatriés ont l’habitude du circuit et ne s’inquiètent pas trop car ils savent qu’ils se placeront sur un autre chantier dans le monde, mais les locaux, eux, ne voient pas forcément cela d’un bon œil. Ils avaient une place de rêve ici pour eux (tout est relatif), et voilà qu’il va bientôt falloir partir. Il faut dire que les locaux représentent à peut près la moitié de l’effectif sur site. C’est ainsi que le speedé du taf qui voudrait que tout démarre en temps et en heure, se heurterait forcément à la nonchalance du Kazakh qui tel le chameau préfère rouler sa bosse plutôt que bosser pour le big boss.