J’ai toujours aimé ce personnage qui me ressemble, et je l’aime encore plus maintenant, oh oui il me ressemble vraiment. Comme il le disait “si tu viens par exemple à 16 heures, dès 15 heures, je commencerai d’être heureux”. Je crois me souvenir de ça, mais en tout cas, en substance, il voulait dire qu’on se prépare à un rendez-vous et que si ça foire… et bien ça foire, dans tous les sens du terme. Pour moi, ça a foiré…
Le premier rendez-vous, j’étais malade comme un chien mais j’ai dit oui, je me suis couchée et j’ai attendu, attendu, elle n’est jamais venue. (Comme chantait l’autre, Dassin je crois : j’ai cueilli les fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu, j’ai attendu attendu elle n’est jamais venue,zaï zaï zaï zaï kà là là là là zaï zaï zaï zaï…).
Pour le troisième rendez-vous, rebelotte. Il faisait chaud, très chaud. Je m’étais préparée à boire un bon verre glacé, tout en offrant un à mes visiteuses ( merci à mon avocate qui gère mon argent et me permet de boire un verre glacé). Et comme d’hab, j’ai attendu, attendu, vous connaissez le topo. Bien sûr, j’ai reçu un sms d’excuse pour ce 3e RV, mais trop tard : j’étais en rééducation et mon gsm était sur silencieux. Bien sûr j’ai loupé de jolies choses en attendant ces RV inutilement : la mise en place de mon joli chat proposée pas une aide soignante, un bon verre en bas que me proposait une copine de maladie, et j’en passe.
J’ai râlé et promis qu’on ne m’y prendrait plus. Non, passque tu décides d’aller voir quelqu’un puis tu annules et tu continues ton petit bonhomme de chemin. Mais le malade, il t’attend, il se réjouit, il se prépare, il pense à ce qu’il va dire, il s’habille le coeur comme le Petit Prince, puis ça tombe à l’eau, plouf. C’est dur, très dur. Et y’en a marre, foutrement marre, terminé de commencer d’être heureuse pour rien, signé Petit Prince.
J’ai toujours aimé ce personnage qui me ressemble, et je l’aime encore plus maintenant, oh oui il me ressemble vraiment. Comme il le disait “si tu viens par exemple à 16 heures, dès 15 heures, je commencerai d’être heureux”. Je crois me souvenir de ça, mais en tout cas, en substance, il voulait dire qu’on se prépare à un rendez-vous et que si ça foire… et bien ça foire, dans tous les sens du terme. Pour moi, ça a foiré…
Le premier rendez-vous, j’étais malade comme un chien mais j’ai dit oui, je me suis couchée et j’ai attendu, attendu, elle n’est jamais venue. (Comme chantait l’autre, Dassin je crois : j’ai cueilli les fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu, j’ai attendu attendu elle n’est jamais venue,zaï zaï zaï zaï kà là là là là zaï zaï zaï zaï…).
Pour le troisième rendez-vous, rebelotte. Il faisait chaud, très chaud. Je m’étais préparée à boire un bon verre glacé, tout en offrant un à mes visiteuses ( merci à mon avocate qui gère mon argent et me permet de boire un verre glacé). Et comme d’hab, j’ai attendu, attendu, vous connaissez le topo. Bien sûr, j’ai reçu un sms d’excuse pour ce 3e RV, mais trop tard : j’étais en rééducation et mon gsm était sur silencieux. Bien sûr j’ai loupé de jolies choses en attendant ces RV inutilement : la mise en place de mon joli chat proposée pas une aide soignante, un bon verre en bas que me proposait une copine de maladie, et j’en passe.
J’ai râlé et promis qu’on ne m’y prendrait plus. Non, passque tu décides d’aller voir quelqu’un puis tu annules et tu continues ton petit bonhomme de chemin. Mais le malade, il t’attend, il se réjouit, il se prépare, il pense à ce qu’il va dire, il s’habille le coeur comme le Petit Prince, puis ça tombe à l’eau, plouf. C’est dur, très dur. Et y’en a marre, foutrement marre, terminé de commencer d’être heureuse pour rien, signé Petit Prince.