Existe-t-il un seul traducteur en France qui ne soit pas d'une inculture absolue en matière de sport ?
Je me souviens de l'immense "Moi, Charlotte Simmons", dont le 'héros' masculin est basketteur, et où le traducteur (excellent par ailleurs) étalait sur 800 pages sa méconnaissance du basket.
Je me souviens, quand j'étais en résidence au Diable Vauvert, Charles Recoursé suait sang et…