Magazine Journal intime

Ma kiné

Publié le 01 septembre 2015 par Anaïs Valente

Ce week-end je me suis souvenue que j’ai écrit des années durant dans le Sept Mag et une année environs dans le Flair, tout ça en retrouvant des vieilles coupures chez moi. Question du jour dans mon tout petit cerveau : où sont ces magazines que j’allais chercher et gardais précieusement ? Après la question du week-end : quel était le
succulent dessert que je préparais quasi les yeux fermés avec du blanc battu en neige ? ça fait deux questions sans réponses, tchu, bisque bisque rage.
Après avoir acheté des cadeaux mixtes pour remercier ma famille et papoté avec l’adorable bénévole du seul magasin où je peux acheter, merci à mon avocate adorée qui a versé un tout petit peu de mes sous ici, j’ai voulu fabriquer un cadeau pour Eline alias ma kiné alias ma consolatrice quand je pleure alias la chef des girafes. Je le ferai ce week-end et elle le gardera à tout jamais en souvenir de moi amen amen amen.
Parce que je pleure encore plus (oui, c’est possible) ces derniers temps tellement je suis à bout, j’en ai marre et je veux partir, ce  qui se prépare de plus en plus même si j’attends une datte pour y croire vraiment (j’y crois j’y crois j’y crois).
Ma kiné m’a raconté notre première rencontre, dont je ne me souviens bien sûr pas : je suis arrivée dans mon fauteuil roulant de compétition (hyper perfectionné) et j’avais renversé tout mon épaississant (liquide mis dans l’eau pour la transformer en bouillie immonde mais buvable  par les gens accidentés), donc j’avais tout
renversé sur moi. Elle a donc fait ma connaissance en nettoyant tout l’épaississant renversé, youpie.  Au moins on peut dire que ça a brisé la glace. Elle m’a beaucoup aidée, encouragée et tutti quanti, je ne
vais pas faire un long discours, juste dire merci je ne t’oublierai pas (waaaw j’ai dit tu et pas vous, miracle du jour).

crapaud.jpg

Ce week-end je me suis souvenue que j’ai écrit des années durant dans le Sept Mag et une année environs dans le Flair, tout ça en retrouvant des vieilles coupures chez moi. Question du jour dans mon tout petit cerveau : où sont ces magazines que j’allais chercher et gardais précieusement ? Après la question du week-end : quel était le
succulent dessert que je préparais quasi les yeux fermés avec du blanc battu en neige ? ça fait deux questions sans réponses, tchu, bisque bisque rage.
Après avoir acheté des cadeaux mixtes pour remercier ma famille et papoté avec l’adorable bénévole du seul magasin où je peux acheter, merci à mon avocate adorée qui a versé un tout petit peu de mes sous ici, j’ai voulu fabriquer un cadeau pour Eline alias ma kiné alias ma consolatrice quand je pleure alias la chef des girafes. Je le ferai ce week-end et elle le gardera à tout jamais en souvenir de moi amen amen amen.
Parce que je pleure encore plus (oui, c’est possible) ces derniers temps tellement je suis à bout, j’en ai marre et je veux partir, ce  qui se prépare de plus en plus même si j’attends une datte pour y croire vraiment (j’y crois j’y crois j’y crois).
Ma kiné m’a raconté notre première rencontre, dont je ne me souviens bien sûr pas : je suis arrivée dans mon fauteuil roulant de compétition (hyper perfectionné) et j’avais renversé tout mon épaississant (liquide mis dans l’eau pour la transformer en bouillie immonde mais buvable  par les gens accidentés), donc j’avais tout
renversé sur moi. Elle a donc fait ma connaissance en nettoyant tout l’épaississant renversé, youpie.  Au moins on peut dire que ça a brisé la glace. Elle m’a beaucoup aidée, encouragée et tutti quanti, je ne
vais pas faire un long discours, juste dire merci je ne t’oublierai pas (waaaw j’ai dit tu et pas vous, miracle du jour).

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