toi cette homme, est tu la!!
jamais la ,quand il le faut
un jour une nuit, un courand’here
comme un fantome sans relache
nous sommes des oignions qui pleur
toi l’homme qui nous dit ,nous aimées
sans , est finit , de toi tu nous fait trop pleurée
ne revient ,que si tu est sur de n’etre plus un courand’here
poesie de ginette