J’ai croisée un groupe de Bonhommes de plomb
Ils profitaient du soleil d’octobre pour se prendre pour Zidane
Prisonniers à jamais de leur table creuse
Se remplissant jour après jour des traces de l’automne
Trop lourds, jamais ils ne pourraient s’y envoler
Car alors, inlassablement ils seraient attirés au sol par leur pied
Suite à cet rencontre quelque peu fortuit et au discours irréaliste tenu par certains de ces personnages,
La seule question qui me vint fût: Comment ne pas perdre la tête?