Quand j'étais petit, chaque été, il y avait le rituel des cartes postales. Que je n'écrivais jamais. Chaque fois c'était la même chose : j'avais envie d'écrire autre chose que « je t'aime très fort », trop banal (j'étais petit), je voulais écrire un truc super, évidemment je ne trouvais pas, et je finissais par ne rien envoyer.
J'ai mis longtemps avant de comprendre que c'était idiot. Et j'ai beau l'avoir compris, ça m'arrive encore souvent.
Ici, par exemple.
Voilà pourquoi j'ai peu parlé des livres de Philippe Jaenada sur ce blog. Parce que je voudrais écrire une cathédrale, évidemment à…