par THÉRÈSE ZRIHEN-DVIR
Après la guerre des Six Jours et l’héritage encombrant de plus de deux millions de palestiniens, les gouvernements successifs israéliens, tergiversaient.
L’erreur immense qui en découla provenait de deux éléments principaux :
– La carence d’une décision concernant l’annexion des terrains conquis
– Le statut des résidents palestiniens dans ces terrains.
Israël avait tout aussi la possibilité d’annexer les territoires conquis si seulement il l’avait véritablement soupesée. Les populations qui s’y trouvaient pouvaient simplement être évacuées vers des régions éloignées des nouvelles frontières d’après 1967. Démarches que tout pays conquérant aurait adoptées dans une situation analogue à celle du petit état juif. Les frontières d’avant 1967, étant connues comme suicidaires = 9 km seulement les séparent de la mer Méditerranée.
L’hésitation, le courage d’implémenter des décisions dramatiques mais nécessaires qui auraient changé stratégiquement la situation d’Israël, faisaient défaut. Les palestiniens des territoires conquis au sortir du joug jordanien et égyptien, étaient bien heureux d’être pris en charge par Israël. Moshé Dayan, alors ministre de la défense, avait mal analysé la psychologie de la population palestinienne sous dominance juive. En fait, il voyait d’un œil tout à fait différent le problème qui allait naître sous les étendards de la foi.
Les pays arabes vaincus militairement par les israéliens avaient compris qu’il fallait jouer sur d’autres pions, puisque celui du nationalisme est inexistant au sein des palestiniens, qui, rappelons-le, ne sont que le produit véreux de leur invention. Les palestiniens, majoritairement originaires des pays limitrophes, dont l’Égypte, la Syrie, l’Iraq, la Turquie et la Jordanie, s’étaient déversés dans cette enclave appelée Palestine, à la recherche d’un gagne-pain. Les terrains abandonnés et marécageux n’attirant que des badauds, la Palestine devint un fourre-tout, où l’on rencontrait des juifs, des chrétiens et des musulmans… Les uns, soudés à cette terre par leur foi (juifs et chrétiens), les autres de simples opportunistes.
Et c’est ainsi que naquit la Palestine.
L’héritage de millions de palestiniens de la guerre de Six Jours, devint alors une bombe à retardement… qui éclate aujourd’hui sur la face des israéliens. Ce n’est guère un conflit territorien, mais bien un conflit ethnique et religieux qui se déclare, lorsque l’Islam se lance à la conquête du monde.
Les palestiniens ne veulent d’aucune paix qui ne leur octroierait pas toute la superficie de l’état juif. Ils veulent une épuration totale de toute présence non-musulmane. La lutte d’Abbas est identique à celle de son prédécesseur Arafat, qui ayant échoué politiquement à renverser l’état juif, poursuit sa guerre par le truchement de sa religion : L’Islam.
Les jeunes palestiniens qui assassinent des passants juifs, hurlent Allah U Akbar, avant de plonger leur couteau dans la chair des juifs – peu importe leur sexe, âge et statut. Ils veulent islamiser le Moyen-Orient par épuration avant de progresser vers l’Occident, lequel ils s’acharnent à occuper sous une invasion ininterrompue de migrants.
Israël a commis l’immense erreur de tenter de les intégrer et paie aujourd’hui le prix incommensurable de sa sécurité.
Les deux millions de palestiniens étant devenus six millions qui se sont depuis enracinés dans presque toutes les villes d’Israël… comment s’en défaire ? Comment s’en séparer ?
Posez cette question à la Gauche qui préconise l’intégration… Dans quelques années, la démographie jouera en faveur des musulmans… comme sera le cas pour toute l’Europe… et devinez quelle sera la cible de cette fameuse intégration…
THÉRÈSE ZRIHEN-DVIR
Regard d’un écrivain sur le Monde
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur ***
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