Aucun mot. Ils viendront plus tard.
Je pense fort à toutes les victimes, les proches de victimes, à tous ceux qui sont à Paris comme j'y étais encore il y a deux mois, et qui doivent vivre, revivre, l'angoisse sans nom de janvier.
Puissiez-vous trouver le réconfort les uns auprès des autres, avec les proches, avec la foule anonyme des gens qui continuent à vivre malgré l'horreur.