DIFFAMATION. Droit de réponse: quand Robin d’Angelo de Streetpress affabule sur un élu de la République

Publié le 04 décembre 2015 par Menye Alain
Robin d'Angelo de StreetPress est venu " interviewer " Arash Derambarsh, élu dans la ville de Courbevoie. En réalité, son " papier " est un tissu de mensonges. Face à cette manipulation et ce papier complètement malveillant, il y a eu un droit de réponse sur le site d'info Radio VL. Mais StreepPress a fait censurer cette réponse ! Voici donc ici notre droit de réponse intégral. Signé : les témoins de l'interview trafiquée et mensongère de Robin d'Angelo et de StreetPress.

Voici le droit de réponse intégral qui a été censuré concernant les mensonges et la manipulation de Robin d'Angelo et du site StreetPress.

Témoignage : Quand Robin d'Angelo de Streetpress affabule sur Arash Derambarsh, un élu de la République.

TÉMOIGNAGE TRANSMIS A LA RÉDACTION DE Radio VL :

Robin d'Angelo a fait une enquête sur Arash Derambarsh, élu municipal de Courbevoie.

TÉMOIGNAGE DE QUATRE TÉMOINS

Nous avons cru que c'était un article du Gorafi en lisant l'article. Ce "journaliste", par son papier sur StreePress, a clairement la volonté de salir l'honneur, la réputation et l'image de Monsieur Derambarsh. Nous allons démonter point par point son article.

- 1er mensonge :

Robin d'Angelo (le "journaliste"), affirme avoir croisé Arash Derambarsh devant le Fouquet's. En réalité, c'est un mensonge.

Nous sommes le vendredi 6 février. Nous sommes cinq personnes, dont Arash. Celui-ci donne ses interviews au restaurant de la Grande Armée. Pour ceux qui connaissent, il s'agit d'un restaurant tout à fait banal. D'ailleurs, Robin d'Angelo arrive en retard. Nous l'attendons. Et repart avant nous. Nous lui payons même son café car il nous affirme n'avoir pas assez d'argent sur lui...

- 2ème mensonge :

Robin d'Angelo avait harcelé Arash Derambarsh pour avoir une interview sur le gâchis alimentaire. Et cette personne malveillante, peu scrupuleuse de la déontologie, lui avait promis de ne faire une interview que sur ce sujet, ainsi que sur la pétition.

Nous sommes tous témoins de la manipulation de Robin d'Angelo et de ses écrits.

- 3ème mensonge :

Robin d'Angelo affirme qu'Arash Derambarsh distribue depuis janvier. C'est donc, encore une fois, une information mensongère.

En effet, Arash Derambarsh avait confirmé dans un communiqué que la distribution ne durerait que durant les mois de décembre et janvier. Pour preuve, Arash lui a envoyé un mail (preuve à l'appui) à la demande de Robin d'Angelo. Il a donc encore donné une fausse information.

- 4ème mensonge :

Il ne s'agit pas d'une distribution dans un "Carrefour City" mais dans un "Carrefour Market". En réalité ", Robin d'Angelo n'est jamais venu à Courbevoie. Ce journaliste controversé écrit de son salon, bien au chaud, sans s'informer. Il ne dit pas que Arash a eu les plus grandes difficultés à créer un partenariat et que deux enseignes lui avait refusé, préférant mettre de l'eau de javel sur la nourriture.

Il ne dit pas non plus qu'Arash souhaite faire passer une loi, imposant aux supermarchés de distribuer les invendus aux associations de leur choix.

- 5ème mensonge :

Il n'y avait pas une dizaine de bénévoles mais bien une quarantaine chaque soir. Preuve à l'appui et sur demande. Toutes les photos ont d'ailleurs circulé sur les réseaux sociaux, ainsi que dans les nombreux reportages TV comme l'AFP ou le Parisien.

À ce propos, les bénévoles n'ont jamais trié aucun produit alimentaire. C'est Carrefour qui le faisait. Les bénévoles, comme nous, nous ne mettions que les produits dans les sacs afin de les distribuer aux démunis.

De plus, la distribution ne se faisait pas qu'à La Défense mais dans Courbevoie.

- 6ème mensonge :

Robin d'Angelo affirme que la pétition sur Change.org est lancée dans la foulée du Grand Journal. En réalité, cette pétition est lancée le 19 janvier. Et le Grand journal de canal + n'a lieu qu'après.

- 7ème mensonge :

Robin d'Angelo ment encore (décidément, cela devient récurent chez ce jeune homme) quand il affirme reprendre les propos d'Arash Derambarsh concernant sa façon de parler. Il y a plus de 180000 signatures et chacune est aussi importante que les ambassadeurs. Nous sommes quatre personnes à affirmer qu'Arash n'a jamais parlé de cette façon, durant l'interview.

- 8ème mensonge :

Robin d'Angelo, considéré comme mythomane notoire par de nombreuses personnes, fait parler le rappeur Rost et le député Frédéric Lefebvre.

En réalité, ces deux personnes, choquées, ne reconnaissent pas leur propos, qui ont été déformés. Nous les avons contactés et ils sont très en colère.

Décidément Robin... Ce n'est pas beau de mentir...

- 9ème mensonge :

Arash Derambarsh a toujours affirmé avoir travaillé au Ministère de l'Intérieur et au Ministère des affaires étrangères en tant que vacataire (enregistrement à l'appui).

Robin d'Angelo ment encore quand il prétend que Arash a travaillé "vers" 2005 avec le député Michel Hunault. En réalité, Arash a été son assistant parlementaire en 2006 pour 6 mois.

- 10e mensonge (oui déjà...) :

Robin d'Angelo, parle de l'affaire du président de Facebook (il y a 8 ans déjà mon petit Robin). Arash a toujours dit que c'était un jeu. C'est sur que c'est plus grave qu'un élu qui vole dans la caisse ou un tueur en série... C'est juste que tu t'es fais avoir en raison de ta méconnaissance et ton incompétence sur internet jeune homme.

Mauvais joueur va

- 11ème mensonge :

Robin D'Angelo ne le sait pas mais lorsqu'on organise une soirée, on ne gagne pas beaucoup. Tiens, voilà un sujet pour toi d'ailleurs.

À l'époque, c'était en franc. Et Arash ne gagnait pas plus de 1000 ou 2000 francs par soirée, pour payer ses études de droit. Cela représente donc 300 ou 400 euros maximum.

Tu as des problèmes avec les chiffres ou tu as été un mauvais élève à l'école Robin Pinocchio ?

Nous au contraire, nous le félicitons d'avoir travaillé dur pour en arriver là. Il est éditeur et c'est un élu. Il représente une méritocratie admirable.

- 12ème mensonge :

Robin, Robin, Robin... Arash Derambarsh n'a jamais été exclu de l'UDF. Il a quitté le parti en 2008. Il n'a donc pas pu le quitter en 2007. Il n'y a qu'à le demander aux députés Jean-Christophe Lagarde ou à Maurice Leroy, anciens cadres du parti. Il n'a jamais reçu d'avis d'exclusion. Ce n'est pas bien d'affirmer sans sources.

Pas très déontologique.

- 13e mensonge :

Robin d'Angelo est resté 40 minutes. Sa technique d'entourloupe était de poser systématiquement une question sur le gâchis alimentaire (sujet qu'il ne maîtrisait pas en plus) et deux questions sur la vie privée. Du genre : "es tu homosexuel ou hétéro ?", "préfères-tu les blondes ou les métisses ?"...

Lorsque les questions devenaient trop limites, nous lui avons gentiment demandé de partir. Et nous avons payé son café à sa demande.

Voilà, nous sommes quatre personnes à témoigner, en dehors d'Arash.

Robin d'Angelo, si tu te comportes de cette façon avec toutes les personnes que tu interviewes, tu seras rapidement considéré comme un journaliste du Gorafi, ou pire des " infos du monde", qui annonçait la fin du monde tous les trois mois.

Les quatre témoins de la pseudo interview trafiquée et mensongère de Robin d'Angelo de StreetPress