Première vie : avant l’accident
Bah, avant l’accident, nul besoin d’en parler beaucoup, je menais une vie « normale », si tant est qu’on puisse mener une vie normale, mais disons que c’était « métro boulot dodo » quoi. J’allais bosser, je rentrais près de mes trois chats, je mangeais des plats préparés ou les plats de ma voisine (ouais, la cuisine et moi, on faisait trois, et ce n’est pas prêt de s’arranger). Bref une vie banale, sans mari (donc sans homme), sans enfants, mais des chats des chats des chats, en veux-tu en voilà. J’ai toujours adoré ces bestioles, même si j’avais oublié en avoir après l’accident, au point que j’ai dit à ma famille, une fois sortie du coma « c’est quoi ces trois chats, qu’on s’en débarasse, on sera tranquille ». Fort heureusement, je n’ai pas été écoutée. Passque j’ai toujours adoré les chats (je me répète, mais c’est vraiment de l’amour – mon sphinx, qui fait dodo sur mes genoux, confirme), même si j’y suis allergique.
Ouaaaaaais, c’est le comble : chuis allergique au chat (et à la vache, mais on a rarement envie d’adopter une vache, à part un steak dans son assiette, et ce n’es pas ce qui j’appelle l’amour des animaux domestiques).
Toujours est-il que j’ai des chats, non pas un, mais trois, tant qu’à faire. Bon, ce sont des chats anti-allergiques (des cornish rex et des sphinx) et je prends aussi des médocs, et puis je ne dors pas avec, pour avoir une « zone neutre ».
Donc une vie normale, en me plaignant comme tout le monde, de la météo, de devoir me lever tôt pour aller bosser, des restos trop chers, ou pas bons, ou les deux, du magasin bourré de monde, de tout et de rien quoi, sans être consciente de la chance que j’avais d’avoir une vie normale, de regarder la pluie, de bosser, de manger au resto, de faire mes courses, tout et rien quoi.
Puis l’accident est arrivé…
Première vie : avant l’accident
Bah, avant l’accident, nul besoin d’en parler beaucoup, je menais une vie « normale », si tant est qu’on puisse mener une vie normale, mais disons que c’était « métro boulot dodo » quoi. J’allais bosser, je rentrais près de mes trois chats, je mangeais des plats préparés ou les plats de ma voisine (ouais, la cuisine et moi, on faisait trois, et ce n’est pas prêt de s’arranger). Bref une vie banale, sans mari (donc sans homme), sans enfants, mais des chats des chats des chats, en veux-tu en voilà. J’ai toujours adoré ces bestioles, même si j’avais oublié en avoir après l’accident, au point que j’ai dit à ma famille, une fois sortie du coma « c’est quoi ces trois chats, qu’on s’en débarasse, on sera tranquille ». Fort heureusement, je n’ai pas été écoutée. Passque j’ai toujours adoré les chats (je me répète, mais c’est vraiment de l’amour – mon sphinx, qui fait dodo sur mes genoux, confirme), même si j’y suis allergique.
Ouaaaaaais, c’est le comble : chuis allergique au chat (et à la vache, mais on a rarement envie d’adopter une vache, à part un steak dans son assiette, et ce n’es pas ce qui j’appelle l’amour des animaux domestiques).
Toujours est-il que j’ai des chats, non pas un, mais trois, tant qu’à faire. Bon, ce sont des chats anti-allergiques (des cornish rex et des sphinx) et je prends aussi des médocs, et puis je ne dors pas avec, pour avoir une « zone neutre ».
Donc une vie normale, en me plaignant comme tout le monde, de la météo, de devoir me lever tôt pour aller bosser, des restos trop chers, ou pas bons, ou les deux, du magasin bourré de monde, de tout et de rien quoi, sans être consciente de la chance que j’avais d’avoir une vie normale, de regarder la pluie, de bosser, de manger au resto, de faire mes courses, tout et rien quoi.
Puis l’accident est arrivé…