Catharina Ingelman-Sundberg Comment braquer une banque sans perdre son dentier.
Publié le 10 janvier 2016 par Pestoune
Cinq octogénaires se révoltent lorsque, victimes de la malversation des dirigeants de leur maison de retraite, ils découvrent que dans les prisons suédoises, on est mieux traité qu’ils ne le sont. La conclusion est simple : arrangeons-nous pour aller en prison. Facile à dire, mais moins facile à faire. Pour aller en prison, il faut donc commettre des malversations. Et c’est ce à quoi vont s’attacher à faire Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie et le Râteau. Et les voilà qui programment braquage et demande de rançon avec leur déambulateur.
C’est le titre qui m’a accroché et le contenu est aussi drôle que le laisse entendre son titre. Une équipée sauvage dans le banditisme pour des octogénaires et leurs déambulateurs. C’est frais, plein d’humour avec néanmoins une critique sous-jacente de certaines maisons de retraite qui n’offrent pas loin s’en faut, les prestations payées. Ce genre de maison se trouve hélas partout. Un roman de distraction pour passer un agréable moment de lecture, il ne faut rien en attendre de plus.
Litterature