Le geai des chênes

Publié le 16 janvier 2016 par Sambuca

Les bernaches et les cygnes qui fuyaient les pays plus froids l’avaient annoncé : l’hiver arrive. Hier il est tombé quelques flocons qui n’ont pas tenu au sol. A mon réveil ce matin les températures étaient déjà positives mais les thermomètres indiquaient pour la nuit -1°C à l’est de la maison et 0° au nord. Il est prévu encore -1° lundi mais ensuite les températures vont rapidement remonter. Cependant il fait franchement froid et les oiseaux ont besoin de calories.


Même si je vous ai montré des fleurs et des arbustes en fleurs, le spectacle en cette saison est surtout assuré par les oiseaux. Je m’installe sur le divan devant les grandes vitres à l’est et j’en vois des dizaines dans les arbres et aux mangeoires. Je ne vous parlerai pas des petits, nombreux aux mangeoires depuis des semaines, mésanges, sittelles, rouge-gorge.


Le geai des chênes est farouche et seule la recherche de nourriture le pousse à se montrer. Depuis des années il y en a au moins un couple dans mon jardin, très amoureux en avril :

C’est en avril que je les vois le plus souvent. Ils vont à la recherche de nourriture mais ne rentrent au nid que de façon compliquée, changeant de direction, sans doute pour ne pas montrer l’emplacement du nid. Ce nid je ne l’ai jamais vu, il est d’ailleurs succinct. Mais je sais où il est pour avoir vu plusieurs fois un geai disparaitre dans le lierre épais sur une branche basse d’un chêne.


Plus tard, c’est en hiver que je vois de temps en temps un geai, quand la réserve de glands s’épuise, dès le mois de décembre en 2012, un hiver plus froid que cette année et l’année de ma première distribution de cacahuètes. S’il a le choix, il ne mange que ça. Inspection de la table :

Et choix d’une délicieuse cacahuète :

En janvier il est parfois au sol, sans doute à la recherche d’un dernier gland :

Ou plus haut à proximité des mangeoires, vérifiant la sécurité des lieux :

Pour s’envoler enfin vers les cacahuètes convoitées :

Un regard pour les repérer :

Et c’est finalement au sol qu’il en trouve le plus :

Les bernaches et les cygnes qui fuyaient les pays plus froids l’avaient annoncé : l’hiver arrive. Hier il est tombé quelques flocons qui n’ont pas tenu au sol. A mon réveil ce matin les températures étaient déjà positives mais les thermomètres indiquaient pour la nuit -1°C à l’est de la maison et 0° au nord. Il est prévu encore -1° lundi mais ensuite les températures vont rapidement remonter. Cependant il fait franchement froid et les oiseaux ont besoin de calories.


Même si je vous ai montré des fleurs et des arbustes en fleurs, le spectacle en cette saison est surtout assuré par les oiseaux. Je m’installe sur le divan devant les grandes vitres à l’est et j’en vois des dizaines dans les arbres et aux mangeoires. Je ne vous parlerai pas des petits, nombreux aux mangeoires depuis des semaines, mésanges, sittelles, rouge-gorge.


Le geai des chênes est farouche et seule la recherche de nourriture le pousse à se montrer. Depuis des années il y en a au moins un couple dans mon jardin, très amoureux en avril :

C’est en avril que je les vois le plus souvent. Ils vont à la recherche de nourriture mais ne rentrent au nid que de façon compliquée, changeant de direction, sans doute pour ne pas montrer l’emplacement du nid. Ce nid je ne l’ai jamais vu, il est d’ailleurs succinct. Mais je sais où il est pour avoir vu plusieurs fois un geai disparaitre dans le lierre épais sur une branche basse d’un chêne.


Plus tard, c’est en hiver que je vois de temps en temps un geai, quand la réserve de glands s’épuise, dès le mois de décembre en 2012, un hiver plus froid que cette année et l’année de ma première distribution de cacahuètes. S’il a le choix, il ne mange que ça. Inspection de la table :

Et choix d’une délicieuse cacahuète :

En janvier il est parfois au sol, sans doute à la recherche d’un dernier gland :

Ou plus haut à proximité des mangeoires, vérifiant la sécurité des lieux :

Pour s’envoler enfin vers les cacahuètes convoitées :

Un regard pour les repérer :

Et c’est finalement au sol qu’il en trouve le plus :