Après la semaine d’hiver. Voyons d’abord les sureaux persistants ou semi persistants dont certains sont en limite de rusticité (hookeri, palmensis).
Sambucus hookeri à feuillage totalement persistant est intact :
Mais mon expérience à Romilly m’a montré que vers -8 à -10°C il perd son feuillage. Certes, il le refait mais aussitôt, avant la fin de l’hiver. Si un autre gel important survient, je ne suis pas certaine qu’il parviendra à faire de nouveau du feuillage. Je ne conseille pas de le tenter en dessous de la zone 8.
Sambucus palmensis, le sureau des Canaries, ne perd son vieux feuillage que lorsque le nouveau se met en place, en janvier. Il n’a pas souffert de ce froid. Il n’est pas facile à photographier car il est très grand et pousse en arbre sur un ou deux hauts troncs nus avec une couronne de feuillage au sommet. Sur cette photo il a déjà son nouveau feuillage :
J’en ai un autre beaucoup plus petit, une bouture de celui-ci. Il m’a permis de faire des photos de près. On voit bien que ce sont de jeunes feuilles et il reste par endroit une feuille de la saison précédente flétrie et prête à tomber :
Sambucus chinensis, herbacé, déjà reparti :
Sambucus adnata, l’herbe de sang du Népal, repart timidement aussi :
Ces deux sureaux sont dans un pot mais dehors, sans même une protection des racines autour du pot.
Après la semaine d’hiver. Voyons d’abord les sureaux persistants ou semi persistants dont certains sont en limite de rusticité (hookeri, palmensis).
Sambucus hookeri à feuillage totalement persistant est intact :
Mais mon expérience à Romilly m’a montré que vers -8 à -10°C il perd son feuillage. Certes, il le refait mais aussitôt, avant la fin de l’hiver. Si un autre gel important survient, je ne suis pas certaine qu’il parviendra à faire de nouveau du feuillage. Je ne conseille pas de le tenter en dessous de la zone 8.
Sambucus palmensis, le sureau des Canaries, ne perd son vieux feuillage que lorsque le nouveau se met en place, en janvier. Il n’a pas souffert de ce froid. Il n’est pas facile à photographier car il est très grand et pousse en arbre sur un ou deux hauts troncs nus avec une couronne de feuillage au sommet. Sur cette photo il a déjà son nouveau feuillage :
J’en ai un autre beaucoup plus petit, une bouture de celui-ci. Il m’a permis de faire des photos de près. On voit bien que ce sont de jeunes feuilles et il reste par endroit une feuille de la saison précédente flétrie et prête à tomber :
Sambucus chinensis, herbacé, déjà reparti :
Sambucus adnata, l’herbe de sang du Népal, repart timidement aussi :
Ces deux sureaux sont dans un pot mais dehors, sans même une protection des racines autour du pot.