Par Alexandre Goldfarb
Chapitre 7
De la déchéance à la décadence
Dans la série MOI Président je vous ai menti :
Chacun voit midi à sa porte même quand il fait nuit…©
De la déchéance à la décadence, la frontière a désormais disparue. Notre société a failli pour ne pas avoir su s’opposer à des mesures indignes de ce que l’on nomme démocratie. Le blabla a remplacé l’action !
Des mesures sont souvent inappliquées donc inutiles la plupart existent déjà dans des lois antérieures. Ce système que l’on peut qualifier de maffieux, on l’a bien vu entre le premier et le second tour des Régionales en décembre 2015, est pérenne et peu importe le président au pouvoir et même son étiquette. Au bon moment, les politiques savent se rassembler pour faire leur besogne et ramasser les titres et les fonctions. Ce système doit absolument cesser et je crois que le seul moyen est d’opérer un changement radical. Car pourquoi continuer dans un système qui n’a jamais fonctionné ? Pourquoi accepter de voir des écoles délabrées, des routes pourries, des gens sans aucune ressource bien qu’ayant travaillé des dizaines d’années, oui pourquoi accepter cela ? Certes les gens sont égoïstes et indifférents donc insensibles aux vrais malheurs et puis les politiques avec les médias savent comme personne les incriminer et leur donner mauvaise conscience. Une fois cette repentance installée et entretenue, les gens restent comme pétrifiés. Cette société malade, en voie de disparaître, il faut bien le constater, sera remplacée par une société moyenâgeuse et religieuse qui tisse sa toile maléfique en Occident. Certains faits sont atroces et pourtant ils sont banalisés. La photo d’un enfant mort on ne sait pas comment sur une plage turque a permis l’envahissement de l’Europe. Pendant ce temps des centaines de personnes ont été décapitées, exécutées, torturées dans une indifférence quasi mystique. Le tort de ces personnes était d’être des Chrétiens, des Kurdes ou de simples opposants à un diktat barbare.
Ici dans le confort et la bourgeoisie, on préfère fermer les yeux, écouter La télé l’a dit© dont la fonction principale est de laver les cerveaux. On est capable de disserter des jours et des jours sur tel ou tel mot sans intérêt et pendant ce temps, l’essentiel est soigneusement évité.
A ce rythme, où la conscience éteinte a remplacé la réalité, il est évident que l’Occident vit ses derniers moments. Les mêmes causes qui avaient détruit l’Empire Romain se reproduisent maintenant avec les mêmes conséquences.
Je sais qu’il est plus facile de ne rien voir et de ne rien entendre, comme les politiques et les médias savent si bien le faire, mais le résultat sera identique pour tous.
Le changement doit être radical, sans états d’âme et pragmatique. Il faut commencer par tout simplifier et faire simplement.
Si l’on veut que la croissance, qui donne du travail, revienne, il faut libérer nos entreprises de ces contraintes souvent absurdes et tellement néfastes. Pourquoi voulez-vous embaucher dans ce système bourré de contraintes stupides ?
Si l’on veut la sécurité, il faut sans attendre éradiquer tout ce qui ne correspond pas aux lois de la République : que ce soit dans des lieux religieux ou assimilés, c’est la nouvelle mode, ou les prisons. Là pas de pitié ni d’hésitation parce que le prix à payer est connu et ne peut qu’augmenter en vies perdues. Alors au lieu de commémorer ici et là, il faut agir sans états d’âmes. Tant pis si les sempiternels « pacifiques » de base doivent encore râler et parler de racisme.
Si l’on veut une France harmonieuse où il fait bon vivre, il faut remettre le système en marche et arrêter de légiférer pour un oui ou un non, arrêter les plans pour ceci ou cela, les pactes ingérables et jamais mis en fonction, réduire les coûts inimaginables des dépenses étatiques avec notre argent qui ne font que réduire notre pouvoir d’achat.
Cela suppose que nous laissions au vestiaire notre orgueil souvent mal placé pour ensemble se dresser et dire STOP à toute cette gabegie aussi stupide qu’inutile.
Les mesures sont simples à prendre, encore faut-il en avoir la volonté.
Sinon il y aura de moins en moins d’électeurs, ce qui signifie clairement et mathématiquement le maintien assuré pour la nomenklatura, ce qui signifie que la catastrophe se poursuivra et que la France finira rapidement ruinée et ne sera plus chrétienne. Cela signifie que moins d’un pour cent des électeurs, ceux qui sont inscrits et payent une cotisation à un parti politique dicteront la politique de la France et cela n’est ni démocratique ni acceptable. Or les chiffres sont intraitables : il n’y aurait même pas 400,000 électeurs encartés et à jour de leur cotisation, tous partis confondus pour 44,6 millions d’électeurs inscrits ! Ces chiffres démontrent que ne pas voter est hérétique et empêche tout changement.
De ce choix de société frileuse et immobile, je ne veux pas !
Levons-nous avant qu’il ne soit trop tard.
Quand à la droite de plus en plus molle, qui ne s’oppose même plus, elle n’est occupée que par sa primaire ouverte, quelle mauvaise idée, et quel Jeu de cons, les 20 et 27 novembre 2016. Donc trop proche de l’élection présidentielle du mois d’avril 2017, donc qui laissera des traces indélébiles et surtout qui permettra à Hollande de se faire réélire à la faveur d’un énième Front républicain, invention diabolique de François Mitterrand. On assise à cette guerre des – petits – chefs d’une droite incapable de s’assumer et d’assumer qui reste méprisante et sourde aux demandes des Français.. Une guerre stupide et sournoise, avec déjà de nombreuses trahisons. Mais il faut noter que dans les SS ou Saints Sondages, être mou semble payer. La preuve pour Xavier Bertrand, qui en d’autres temps aurait été qualifié de traitre, et qui se retrouve à bondir dans lesdits SS de 10% en un seul mois! Quand à Estrosi, il semble avoir pété les plombs depuis le premier tour de ces Régionales.
Brisons la loi du silence !!!
Nous n’avons pas de leçons à recevoir d’une gauche qui a lamentablement échoué et de ses complices, les médias, dont le moins qu’on puisse dire est qu’ils nous désinforment. La France doit se redresser et pour cela il lui faut ouvrir un autre chemin. Sinon elle passera De la déchéance à la décadence.
A suivre
La vérité est une délicieuse plante qui ne pousse pas toujours comme on voudrait©.
Hollande, l’homme qui murmurait à l’oreille des veaux©.
Alexandre Goldfarb
Président fondateur de l‘Observatoire du MENSONGE
NB : retrouvez La Caste en cliquant sur le chiffre du chapitre 1 ou 2 ou 3 et Les hérauts de la langue de bois en cliquant sur les numéros de chapitre 4 – 5 – 6