C’est dans l’atelier de forgeron où travaille son père, qu’Igor Kitzberger s’intéressera à la ferronnerie d’art. Et c’est à l’école d’art de Turnov qu’il apprendra, grâce à l’un de ses professeurs à regarder l’art mais aussi comment regarder un sujet, l’étudier, le dépeindre. Il obtient un diplôme de ferronnier d’art et commence à travailler avec son père. Sa matière de prédilection est le métal, particulièrement le bronze. Mais il s’intéresse de plus en plus à la création d’œuvre figurative et décide de se diriger vers la sculpture. Il intègre l’école d’art de Bratislava.
Il aime explorer l’univers antique et mythique, particulièrement les mythes grecs : Sisyphe, Prométhée, Icare… mais la danse, le cirque, le théâtre sont aussi une source d’inspiration. Il a une formidable inventivité artistique et aime représenter ses créations en mouvement. Le mouvement est l’expression de la vie.
Cet artiste se sent empli d’une énergie intérieure le poussant à travailler quotidiennement en véritable bourreau de travail.