Ce n’est pas en hiver qu’il est le plus beau. Je vous le montre aujourd’hui pour vous faire apprécier son aspect tapissant permanent. En hiver il est très près du sol mais il ne manque pas une feuille et il est très tapissant en toute saison et empêche totalement les germinations intempestives. Il n’empêche pas les vivaces hautes ou les arbustes qui existaient avant son envahissement mais j’ai coupé tout ce qui dépassait et ne me plaisait pas la première année et rien n’est réapparu, et surtout pas les horribles ronces bleues. J’ai planté en 2013 2 touffes prélevées à Veneux et il couvre déjà environ 50m2.
Le 20 décembre :
Le 1 février :
A Veneux il a réussi à escalader et envahir une butte assez haute. Mais je le trouve maintenant dans d’autres zones plus ombragées du terrain où il se mélange au lierre et aux pervenches.
En avril-mai il sera plus haut et en fleurs. J’y ai laissé pousser les consoudes et on y verra plus tard les eupatoires :
Sa seule limite : il n’aime pas trop l’excès de soleil. Dans les zones en plein soleil, j’ai un tapis aussi dense de consoudes bleues. Lamium ou consoude, ce sont des zones qui ne nécessitent plus d’entretien.
Le Lamium galeobdolon est une plante spontanée,à l’extension beaucoup plus rapide que les autres Lamium, répandue dans toute la France mais il a un feuillage vert. Celui que j’ai planté, au feuillage joliment panaché d’argent, c’est Lamium galeobdolon ‘Florentinum’ :
Ce n’est pas en hiver qu’il est le plus beau. Je vous le montre aujourd’hui pour vous faire apprécier son aspect tapissant permanent. En hiver il est très près du sol mais il ne manque pas une feuille et il est très tapissant en toute saison et empêche totalement les germinations intempestives. Il n’empêche pas les vivaces hautes ou les arbustes qui existaient avant son envahissement mais j’ai coupé tout ce qui dépassait et ne me plaisait pas la première année et rien n’est réapparu, et surtout pas les horribles ronces bleues. J’ai planté en 2013 2 touffes prélevées à Veneux et il couvre déjà environ 50m2.
Le 20 décembre :
Le 1 février :
A Veneux il a réussi à escalader et envahir une butte assez haute. Mais je le trouve maintenant dans d’autres zones plus ombragées du terrain où il se mélange au lierre et aux pervenches.
En avril-mai il sera plus haut et en fleurs. J’y ai laissé pousser les consoudes et on y verra plus tard les eupatoires :
Sa seule limite : il n’aime pas trop l’excès de soleil. Dans les zones en plein soleil, j’ai un tapis aussi dense de consoudes bleues. Lamium ou consoude, ce sont des zones qui ne nécessitent plus d’entretien.
Le Lamium galeobdolon est une plante spontanée,à l’extension beaucoup plus rapide que les autres Lamium, répandue dans toute la France mais il a un feuillage vert. Celui que j’ai planté, au feuillage joliment panaché d’argent, c’est Lamium galeobdolon ‘Florentinum’ :