Cela vient de m’être demandé, vous propose de vous montrer les différents lamiers que j’ai pu observer. Tous sont répandus en France et sauf maculatum s’ébattent dans mes jardins.
Lamium galeobdolon me parait le plus couvrant, le plus rapide car ses tiges couchées se marcottent et il se ressème facilement puisque j’en trouve où je n’en ai jamais planté. Il forme un tapis plus bas que les autres lamiers. Je n’ai pas de photo de l’espèce sauvage mais la seule différence avec ma variété argentée, c’est le vert uni des feuilles. Les fleurs jaunes sont identiques.
Lamium album, le lamier blanc, a des tiges plus dressées. C’est celui qu’il est le plus difficile de distinguer des orties quand il n’est pas encore en fleurs, soit au tout début du printemps. Plus tard, les orties sont beaucoup plus hautes et le lamier se fait remarquer par sa floraison, remontante en automne.
Tapis de lamier blanc devant un tapis de consoude bleue un 1 mai :
La couronne de fleurs autour de la tige carrée :
Début avril, les plantes sont très petites, les orties aussi. On peut déjà bien repérer le lamier à sa floraison. Cette photo montre les feuilles des 2 plantes. Le lamier est au centre, il a des feuilles triangulaires avec des petites dents. Les orties sont en bas, à droite et à gauche, avec des dents plus profondes.
Lamium purpureum, le lamier pourpre pousse aussi spontanément à Veneux et à Romilly. Son nom est dû à la couleur pourpre des feuilles terminales, ses fleurs sont plutôt roses. Il peut former, lui aussi un tapis dense mais de développement moins rapide et de hauteur pas toujours régulière.
Le 15 avril à Romilly à Romilly lorsque je l’ai vu la première fois :
Mieux entretenu, le 18 mars 2015 au Jardin des Plantes :
A Romilly il disparait dès le milieu de l’été. Je le garde mais je ne peux l’utiliser comme tapis.
J’ai pu photographier Lamium maculatum, le lamier tacheté au Jardin des Plantes. Il semble aussi couvrant et de développement rapide que galeobdolon, il a une longue floraison comme album. Ses fleurs sont violacées. Un 1 décembre :
Il existe de nombreuses variétés horticoles de tous ces lamiers.
Cela vient de m’être demandé, vous propose de vous montrer les différents lamiers que j’ai pu observer. Tous sont répandus en France et sauf maculatum s’ébattent dans mes jardins.
Lamium galeobdolon me parait le plus couvrant, le plus rapide car ses tiges couchées se marcottent et il se ressème facilement puisque j’en trouve où je n’en ai jamais planté. Il forme un tapis plus bas que les autres lamiers. Je n’ai pas de photo de l’espèce sauvage mais la seule différence avec ma variété argentée, c’est le vert uni des feuilles. Les fleurs jaunes sont identiques.
Lamium album, le lamier blanc, a des tiges plus dressées. C’est celui qu’il est le plus difficile de distinguer des orties quand il n’est pas encore en fleurs, soit au tout début du printemps. Plus tard, les orties sont beaucoup plus hautes et le lamier se fait remarquer par sa floraison, remontante en automne.
Tapis de lamier blanc devant un tapis de consoude bleue un 1 mai :
La couronne de fleurs autour de la tige carrée :
Début avril, les plantes sont très petites, les orties aussi. On peut déjà bien repérer le lamier à sa floraison. Cette photo montre les feuilles des 2 plantes. Le lamier est au centre, il a des feuilles triangulaires avec des petites dents. Les orties sont en bas, à droite et à gauche, avec des dents plus profondes.
Lamium purpureum, le lamier pourpre pousse aussi spontanément à Veneux et à Romilly. Son nom est dû à la couleur pourpre des feuilles terminales, ses fleurs sont plutôt roses. Il peut former, lui aussi un tapis dense mais de développement moins rapide et de hauteur pas toujours régulière.
Le 15 avril à Romilly à Romilly lorsque je l’ai vu la première fois :
Mieux entretenu, le 18 mars 2015 au Jardin des Plantes :
A Romilly il disparait dès le milieu de l’été. Je le garde mais je ne peux l’utiliser comme tapis.
J’ai pu photographier Lamium maculatum, le lamier tacheté au Jardin des Plantes. Il semble aussi couvrant et de développement rapide que galeobdolon, il a une longue floraison comme album. Ses fleurs sont violacées. Un 1 décembre :
Il existe de nombreuses variétés horticoles de tous ces lamiers.