Par Jean-Marie Pieri
Chapitre 16
RE-PHORM 2 LORTO-GRAF!
Nous vivons une période plus intéressante disait le camarade Staline à l’époque des procès et de la terreur sanglante, décidemment rien ne change sous le soleil du socialisme délirant et mensonger, matraquage et propagande font bon ménage!
L’éducation reste un exemple affolant d’échec, ce temple de paralysie et d’immobilisme coupable se meurt en dépit du dévouement et de l’altruisme des personnels qui luttent avec passion pour soutenir une machine qui ne fonctionne plus!
Réformer à tout prix voilà l’objectif visé que cela plaise ou non: une confusion mortelle menace au niveau des mots, l’incompréhension totale des sots et le déni d’un régime à bout de souffle!
L’idée maîtresse du politique « parvenu » c’est la posture et l’imprécation permanente, le refus d’écouter l’opposition, la museler pour obtenir le silence dans les rangs, cela comporte un risque en démocratie, une tentation de dérive vers un régime autoritaire pour ne pas dire totalitaire! Socialisme antichambre de la tyrannie dit-on!
Ce qui nous sauve dans ce désarroi final ce n’est pas la lutte, ni l’internationale, c’est le rire, – l’apocalypse du rire qui prend en tenaille les cotes, après le marivaudage pour tous, on taille de nouveaux costumes étriqués, le progressisme idéologique, oh la belle logique nous affuble d’une belle camisole du mensonge!
On parle de pénibilité, de simplification pour une meilleure gestion, du mille-feuille du code du travail, d’effort de partage et cette inversion qui n’arrive pas, Ubu roi et fonctionnaire européen nous fait tourner en bourrique.
Don Quichotte socialiste ne fait pas dans la dentelle, plutôt dans la jaretelle, pourfend l’ennemi et attaque « la finance » avec son sabre de bois, résultat des courses, nous allons de déliquescence en décadence à trop vouloir compter les grains de sable du désert!
Allons courage que diable, Messieurs les énarques et autres docteurs Diafoirus assez de vacarme et de formules creuses supposées impressionner le pékin, assez de ces politiques de foire, cessez de faire ce vilain bruit de casseroles pour nous faire croire que vous travaillez au bien-être commun!
Lénine ne manquait pas de cynisme en affirmant qu’une simple cuisinière pouvait diriger un état avec autant de succès et au pays de la gastronomie cela ne manque pas de piquant d’être dirigé par de si pâles marmitons! Quel pitance saumâtre cette triste déchéance que vous offrez!
Ne détruisez pas la mémoire des origines, la fierté du peuple héritier du siècle des lumières, ne trahissez pas la nation héritière de la révolution ni la culture ancestrale, ne bradez pas nos traditions, notre histoire millénaire, ne confondez pas la culture avec la confiture que vous étalez si pauvrement aux yeux du monde!
A suivre
Jean-Marie Pieri
*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur***
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