Certains m'ont demandé le comment du pourquoi, la ville stratégique d'Alep, ancien poumon économique de la Syrie, n'est pas encore tombée dans l'escarcelle de l'armée arabe syrienne. En réalité, Alep est une ville plus grande que Paris, en superficie, et, contrairement à ce que certains pensent, il n'y a qu'une partie, contrôlée par les terroristes. Dans cette partie, l'avancée ne peut se faire que lentement, entre les civils (femmes et enfants), pris en otage.